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Age : 23
Emploi/études : étudiant , médecine vétérinaire.
Lieu d'habitation : Jung-gu , résidence universitaire.
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Citation : « Fluctuat Nec Mergitur »
Il est battu par les flots mais ne sombre pas.
Il est battu par les flots mais ne sombre pas.
Pseudo : Astr'lunair
Pronoms : She/elle
Avatar : Lee Felix [SKZ]
DC : Jang Ma Eum ;; Nae Hayan ;; Song Attis ;; Han Dok Ja ;; Kim Freya
White Loukas Ttalgi
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- Hey, on commence tous par quelque part. Je sais c'que c'est le BDSM, pas besoin de m'le résumer. Je n'ai jamais dit être expert en la matière, c'est toi qui me fous sur un piédestal.
Ye Jun s'enorgueillit à la découverte chez son cadet. Tandis que le blondinet se défend face aux accusations. À aucun moment, il n'a parlé de chauffer un autre gars de la salle pour l'entraîner dans les vestiaires, aussi séduisant soit certains d'entre eux. Loukas roule des yeux aux paroles acrimonieuses du plus vieux. Il a bien compris qu'il abhorre ce genre de chose, surtout sur sa propriété où il est Roi. C'est son droit, il jure sur sa tête de ne pas être aussi vil.
- Ce serait trop bizarre de te faire bander, entre nous. Tu es trop agressif pour moi, je tiens à garder tous les morceaux de mon anatomie.
Il fait une moue, comme s'il était désolé de dire ça de la sorte. Qu'ils en terminent avec cette tache, avant que la nuit ne tombe et chasse tous les démons. L'étudiant réceptionne l'équipement balancé, dans une nouvelle moue boudeuse. Ça aurait pu se finir là, mais le boxeur revient à la charge. Sa mâchoire revient entre ses doigts, sous le froncement de ses sourcils. Grande gueule ? Loukas lui offre un grand sourire, la mine insolente.
- Je dois être né pour l'ouvrir.
Dans tous les sens du terme, mais il s'abstient de le formuler ainsi. À tous les coups, Ye Jun le pense et pourrait le dire. La tête dodeline sous la raillerie, une fois sa liberté retrouvée. Il se pavane, le blond, amusé par la complexité de sa propre personnalité. Un gamin arrogant, qui n'a jamais appris à garder sa langue dans sa poche, ni dans sa bouche.
- Comme se taper dessus ? Je prends.
Il s'en réjouit, sachant pertinemment que le chorégraphe va le mettre à terre et plus d'une fois. Qu'à cela ne tienne, Loukas ne s'abat pas aussi aisément. C'est comme le vélo, faut remonter à chaque chute. Le cadet le rejoint dans ses échauffements, préparant son corps à recevoir les coups ou à devoir bouger de manière excessive.
- Je n'attends que ça quand je viens ici, et aussi de renverser les rôles. Petit prince.
Un clin d'œil, il le nargue de sa grande gueule et de son assurance impertinente. Le fou ose même bousculer gentiment l'autre, prêt à s'enfuir s'il tente de l'attraper pour l'étrangler.
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Emploi/études : Gérant d'un club de boxe || ancien chorégraphe de renom, donne des cours occasionnels
Lieu d'habitation : Appartement à Bukseogu
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Love Ye Jun Blueberry
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Les épaules se soulèvent. « Tu es curieux et je suis certain que tu frôles les limites si cela permet un moment d’euphorie ? En soi, cela parait justifiable et gratifiante, fais comme bon te semble. ». Il possède l’assurance que la frontière finira par être traversé tôt ou tard, vers ses profondeurs inexplorées et les tendances aphrodisiaques, tant que cela ne lui déplaise. Et s’amuse volontiers de l’agacement offert comme un cadeau dans un environnement sur lequel il détient la couronne. Peu facile à convaincre et encore moins à aimer, il le sait. L’honneur de pouffer légèrement. « Heureusement, nous n’avons aucune passion commune à faire connaissance dans ce cadre-là. Autant s’arrêter à nos taquineries. Je pourrais au moins dire à tes plans culs que tu sais bien rouler la langue, ça devrait en contenter certains. ».
À son tour de rouler des yeux à la nonchalance badine de celui qui lui fait face, sortant enfin de l’enfer des équipements pour une pièce plus tamisée, souvent utilisé pour des séances privatisées après les échauffements. Il n’a aucune envie d’affronter sous le brouhaha pour le moment, peut-être que lorsque son humeur sera plus festive, qui sait. L’œil est aussi charmant qu’arrogante, dans sa manière altière et son geste de la main gracile qu’il chasse ces mots insignifiants. « Bien sûr, tu as au moins l’avantage de savoir manier tes atouts. ». Que cela soit dans le jeu de regard, pouvant déstabiliser les sentimentaux. Ceux qui se laissent amener par leurs affects plutôt que la discipline farouche d’un sport de combat.
Ye Jun se met en place, en posture défensive. « Tu peux commencer, belle gueule. Autant être doux pour l’instant, non ? » exprime-t-il avec arrogance, sachant que le ton montera nettement d’un cran. Comme à leur habitude, frôlant l’obscénité d’une verbe peu contrôlée sous des mouvements incisifs. Une amitié solide par les railleries salaces et quelques perfidies dans le combat, dérogeant un peu des règles pour mieux bousculer. Un peu d’amusement ne fais aucun mal, rendant la bousculade par un retour de poing un peu rude, mais à la hauteur de ce que le propriétaire des lieux est : un Roi.
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White Loukas Ttalgi
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Loukas donne raison à son aîné dans un haussement d'épaules. Il n'a pas tort en disant qu'il est curieux et qu'il serait capable de frôler les limites, que ce soit pour un moment d'euphorie ou pour autre chose. L'Australien est un adulte, ça ne se voit pas sur son visage enfantin et ses sourires angéliques, mais il a conscience du danger et des choses à ne pas faire pour s'éviter bien des peines. Or, dans son cas à lui, ces recherches ne l'amèneront à rien de trop douloureux, ni de destructeur pour le cœur, car il garde à l'esprit qu'il y a zéro attache avec ses partenaires. Les plaisanteries vont bon train avec eux, des fois un peu trop loin, mais les garçons savent comment faire pour les tourner à la dérision. ‟ Tu n'as pas besoin de leur dire, je peux très bien leur faire une démonstration directement. „ Dit-il avec un clin d'œil. Ça le perdra un jour, autant de taquinerie et de nonchalance, à vivre de son impudence.
Abandonnant le rangement pour revenir à la pièce maîtresse de la salle, le bavard ne cesse jamais d'ouvrir sa bouche pour répliquer ou argumenter. ‟ Que serait un bon samouraï s'il ne savait pas manier son katana ? „ Des atouts, il en a quelques-uns et tout autant de corde à son arc. Quand on apprend à bien le connaître, on se rend compte que le blondinet possède beaucoup de charme et de talent. Certains le remarquent dès le premier coup d'œil, la première parole quittant ses lèvres. Dans le cas de la boxe, il n'est pas sans rien. Contre Ye Jun, il pourrait devenir un adversaire redoutable, mais pas impossible à vaincre pour le grand champion du ring. Loukas ne se fait pas d'illusions, si lui-même s'entraîne et progresse, l'autre garçon doit en faire tout autant de son côté.
Ye Jun donne la permission à l'insolent d'ouvrir la marche. ‟ Si le grand boss me laisse attaquer, je ne vais pas me faire prier. „ Un rire lui échappe, tandis qu'il se met en position d'attaque. ‟ Je serais doux, promis. „ Une boutade supplémentaire avant de lancer les hostilités, dans des mouvements contrôlés, mais précis. Loukas fait le premier pas de danse, mais il est clair que son aîné va la mener d'ici peu. Un loup face à un aigle, si l'oiseau majestueux peut se permettre de parcourir le ciel en toute liberté, la tâche devient plus ardue quand les crocs du canidé se plantent dans ses ailes. Le talent contre l'impudence, là où l'un domine et l'autre persiste. Sous les grognements, les rires nerveux et les provocations dignes des meilleures gamineries. Le sale gosse ne s'avoue pas facilement vaincu, que ses coups se retournent contre lui ou que son adversaire revienne à la charge. Il se relève, siffle, jure parfois, mais se remet toujours en position.