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Age : 26
Emploi/études : Graphiste maquettiste + pompier volontaire
Lieu d'habitation : Un appartement à Namseogu
Icônes :
Citation : [ ANGEL EYES ]
Aes :
»--✧--«
Well, I can't help but notice,
You seem happier than ever now,
And I guess that I should tell you I'm sorry
It seems I was the problem somehow
Maybe I only brought you down
Sorry
Well, I can't help but notice,
You seem happier than ever now,
And I guess that I should tell you I'm sorry
It seems I was the problem somehow
Maybe I only brought you down
Sorry
Pseudo : b.yoshi
Pronoms : Il (perso) // Elle (IRL)
Avatar : Bangchan - SKZ
DC : ye jun ** mikaela ** chin mae ** jin hyun
Song Eros Lemon
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a place among the stars
@Hwang Gyuri
song || outfit
Le soleil dégage l’horizon sans nuages dans toute sa splendeur, bleu et claire, la brise enveloppant la cour devient plus chaude à mesure des heures qui défilent sous le cadran historique du lieu. Sous une certaine odeur dans l’air des jours comme aujourd’hui, dans lequel le temps des beaux jours bannissent complètement l’humidité sèche et étouffante propre à la Corée du Sud. Laissant dans son sillage une atmosphère rafraîchissante, emportant avec lui le parfum distinctif des pins et des ormes environnants.
Les couleurs chatoyantes, tout de vert, qui se mêlent aux odeurs des gourmandises sucrées que les adolescents succombent et se délectent à s’en retrouver la bouche collante. L’endroit se mêle de conversations bruyantes, bercé par une gamme étonnantes de joyeuseté sous les cris vibrants, un peu caché de la pleine ville Séoulite et offrant une paix sans précédent. Un baume pour l’âme et une évasion de quelques heures du rythme effréné de la ville. C’est précisément pour cette raison qu’Eros a fait preuve de volontariat pour occuper ses songes.
Il sent les coins de ses lèvres se crisper à cette pensée, retrouvant rapidement une expression faussement joviale lorsqu’il s’accroupit sur une petite boite devant lui. Jonchée d’une poignée de cartes, de papiers, de notes griffonnées et des dessins particulièrement réussis. « Oh ? Euh, o-oui. Le compte est bon. », fit-il en s’adressant à la jeune femme qui l’accompagne. Des heures et des heures de planification à terminer afin de guider un groupe tout au long de cette après-midi dans une chasse au trésor – avec, en fin de course, un moment convivial dans l’une des pièces aménagées pour la journée.
« Il ne reste plus qu’à former les groupes comme prévu et on pourra commencer. », suppose-t-il sous l’ombre d’un sourire aussi légère et sucrée que de la barbe à papa, celle dont on désire se désaltérer à cause de son aspect collant. Rien de particulièrement appréciable après quelques bouchées. Peut-être n’est-ce qu’un mensonge, sous cette vision qu’il a de lui-même, boueuse et sirupeuse depuis l’accrochage avec son jeune frère. C’est comme ci une lumière qu’il possédait s’était éteinte, laissant une ombre planée qui s’efface peu à peu pour disparaitre entièrement.
Loin de la clarté de sa comparse, une douceur pour les âmes. Une chaleur et une joie, à la fois un soleil et une lune enveloppés dans un seul être au charme infini, ayant su captiver les cœurs des fans et des jeunes qui les entourent. Le don d’enrouler l’émerveillement autour de son petit doigt comme des épris et dont il ne peut blâmer. Bien au contraire, pas devant ce caractère altruiste. Loin du sien, ne sachant même plus ce qu’il est concrètement. Une gêne, un problème dans la vie des autres, une ancre qui fait couler et noyer les pauvres innocents qui lui tendent la main. Et il se sent si désolé de leur faire subir cela.
Il cligne des paupières devant un regard inquisiteur. Oh. Il s’est perdu dans ses pensées, une fois de plus. « Ah. Euh. P-pardon. Je me disais simplement que tu étais vraiment généreuse pour donner un peu de ton temps ici. ». Du bénévolat. Rien de plus simple et pourtant, peu affectionnent cette pratique. Un peu de gaieté pour des individus qui ne possèdent pas grand-chose, offrant des babioles qui recèlent des trésors pour ceux qui les récupéreront. Avec de la compagnie, loin de leur solitude effrayante. Celle que lui-même craint plus que tout.
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Emploi/études : Leader des TiGirls
Lieu d'habitation : Dortoir des TiGirls, Namdonggu
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Citation : listen, the sound of rough waves ; feel it, the sound of my heartbeat
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you are someone's dreams come true, a strange view of somewhere i want to stay
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Pseudo : iko
Pronoms : elle (rp) / elle/they (irl)
Avatar : an yujin (ive)
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Hwang Gyuri Lemon
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a place among the stars
@Song Eros
song || outfit
« Le compte est bon? » Le ton de voix un peu plus fort qu'à son habitude, tentant de rejoindre les oreilles de son comparse. Ses bras qui trainent quelques boîtes pas trop lourdes mais d'une importance capitale; boites qui, néanmoins, bloquent quelque peu le champ de vision de l'idole. Et elle arrive finalement à déposer ces bouts de carton qui l'encombrent, là où tous deux auront facilement accès à leur contenu. D'autres cartes, d'autres papiers, des dossards et autres babioles potentiellement utiles, que ce soit pour la chasse au trésor ou la soirée subséquente.
Tout devait être parfait, un sentiment sans doute partagé par le duo. Aussi parfait que la douleur des rayons de soleil qui se sont présentés juste à temps, que la brise à la température et vitesse idéale, que l'absence d'humidité hors du commun pour ce pays pourtant si souvent étouffant. Le désir de faire naître sur le visages de maints inconnus un sourire impossible à effacer, des souvenirs inoubliables. Quelque chose de différent. Pas comme les cris des fans ayant payé leurs billets hors de prix pour capturer
Elle s'assoit à ses côtés, carnet à la main, l'âme déchirée entre son enthousiasme enfantin et son rôle de leader responsable qui revient au galop. « Je m'en occupe! » Et, la langue légèrement sortie, elle se met au boulot. Les neurones qui s'agitent en tentant de se remémorer les détails mentionnés, les informations importantes, la manière de bien former les groupes. Elle se perd dans son travail, Gyuri; elle se laisse bercer par le son de la mine qui griffonne le papier, sans se soucier réellement de ce qui se passe autour d'elle. Un rare moment de répit pour cette jeune femme qui, pourtant, passe l'essentiel de ses secondes à s'inquiéter pour les autres. Et dans cette transe, elle termine cette tâche avec aisance.
Et dès qu'elle lève les yeux, elle voit ce regard qu'elle connaît trop. Un regard qu'elle entrevoit parfois à la vue de son propre reflet dans le miroir, lorsqu'elle peine à dormir, lorsqu'elle a l'impression que ses efforts sont en vains, que les autres coulent autour d'elle malgré les bouées de sauvetage qu'elle tente de lancer. Et elle préfèrerait, Gyuri, que ce soit elle qui coule, que les autres attrapent la bouée de sauvetage et flottent tranquillement vers la rive, la sûreté. Parce que Gyuri sait nager, parce qu'elle sait qu'elle s'en sortira. Ou du moins, elle l'espère. « Tout va bien? » Mais sa réponse est à l'opposé de ce qu'il dégage, et elle le sait, Gyuri, elle le sent. Elle le vit trop souvent pour ne pas s'en rendre compte, et elle est elle-même coupable de cet évitement.
Alors elle ne pousse pas plus loin. « Oh, c'est rien. Et puis, ça fait longtemps que je veux prendre le temps de faire quelque chose du genre. » La vérité, tout simplement. « J'ai formé les groupes, du coup, en suivant ce qu'on avait dit. Est-ce que tu peux voir si tout est bon? »
Tout devait être parfait, un sentiment sans doute partagé par le duo. Aussi parfait que la douleur des rayons de soleil qui se sont présentés juste à temps, que la brise à la température et vitesse idéale, que l'absence d'humidité hors du commun pour ce pays pourtant si souvent étouffant. Le désir de faire naître sur le visages de maints inconnus un sourire impossible à effacer, des souvenirs inoubliables. Quelque chose de différent. Pas comme les cris des fans ayant payé leurs billets hors de prix pour capturer
Elle s'assoit à ses côtés, carnet à la main, l'âme déchirée entre son enthousiasme enfantin et son rôle de leader responsable qui revient au galop. « Je m'en occupe! » Et, la langue légèrement sortie, elle se met au boulot. Les neurones qui s'agitent en tentant de se remémorer les détails mentionnés, les informations importantes, la manière de bien former les groupes. Elle se perd dans son travail, Gyuri; elle se laisse bercer par le son de la mine qui griffonne le papier, sans se soucier réellement de ce qui se passe autour d'elle. Un rare moment de répit pour cette jeune femme qui, pourtant, passe l'essentiel de ses secondes à s'inquiéter pour les autres. Et dans cette transe, elle termine cette tâche avec aisance.
Et dès qu'elle lève les yeux, elle voit ce regard qu'elle connaît trop. Un regard qu'elle entrevoit parfois à la vue de son propre reflet dans le miroir, lorsqu'elle peine à dormir, lorsqu'elle a l'impression que ses efforts sont en vains, que les autres coulent autour d'elle malgré les bouées de sauvetage qu'elle tente de lancer. Et elle préfèrerait, Gyuri, que ce soit elle qui coule, que les autres attrapent la bouée de sauvetage et flottent tranquillement vers la rive, la sûreté. Parce que Gyuri sait nager, parce qu'elle sait qu'elle s'en sortira. Ou du moins, elle l'espère. « Tout va bien? » Mais sa réponse est à l'opposé de ce qu'il dégage, et elle le sait, Gyuri, elle le sent. Elle le vit trop souvent pour ne pas s'en rendre compte, et elle est elle-même coupable de cet évitement.
Alors elle ne pousse pas plus loin. « Oh, c'est rien. Et puis, ça fait longtemps que je veux prendre le temps de faire quelque chose du genre. » La vérité, tout simplement. « J'ai formé les groupes, du coup, en suivant ce qu'on avait dit. Est-ce que tu peux voir si tout est bon? »