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Emploi/études : Graphiste maquettiste + pompier volontaire
Lieu d'habitation : Un appartement à Namseogu
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Well, I can't help but notice,
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And I guess that I should tell you I'm sorry
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dreamy day
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« Ils sont parfois difficiles à comprendre et en même temps, nous aussi, on a été dans cette période ? Tu étais comme ça ? », s’enquit-il avec un léger rire. Il ne peut nier avoir été quelqu’un de secret, conservant ses sombres pensées pour lui. Envenimant son encéphale au fil des années, par le biais de son dégoût de soi, de sa culpabilité, de son sentiment de ne pas devoir vivre encore sur cette Terre. Sous ses flagellations physiques et mentales pour s’y résoudre, marchant sur un fil invisible, si fin, prêt à tomber à tout moment. Et il sait qu’il ne reviendra pas le cas échéant. Ainsi, comment en vouloir auprès de plus jeune qui possède leurs propres tourmentes ? Néanmoins, il suppose que l’un comme l’autre, les grands frères ne souhaitent pas retrouver leurs petits dans des sales histoires. Où enfermer sur eux. Et cela ne se passe pas toujours bien, comme son cas, le faisant déglutir sensiblement.
Il se mord un peu les lèvres, les épaules se soulevant doucement. « Attis n’a jamais été très éloquent, mais je suppose qu’il va bien ? Il ne change pas et reste fidèle à lui-même, même si je traine autour de lui et lui pose pleins de questions. Il répond brièvement, mais il parle. ». En vérité, il n’a jamais su s’il faisait les bonnes choses, son regard trahit une inquiétude. La sienne, de mal s’y prendre et celle envers son petit frère. Le dessinateur n’arrive pas à percer la carapace de celui-ci, à peine à lui insuffler un sourire et encore moins quelques mots sur ses sentiments. De brèves conversations. « On a discuté de vouloir adopter un chien. Je crois que c’est la première fois qu’il était plus expressif. Je pense que ça peut l’aider à se sentir moins seul ? Tu as des animaux ? ». Eros travaille beaucoup et leur mère également.
Une présence serait peut-être agréable pour lui ? Il ne veut que du bien auprès de chacun. Il est sûrement une personne oubliable, une personne qui ne mérite pas l’attention, le soutien et encore moins d’amour, alors, il s’évertue à tout donner aux autres. De ce qu’il ne mérite pas et qu’il ne devrait pas recevoir. Avec sincérité. À défaut de se mentir à lui-même. Il rit doucement, tapotant l’épaule de son ami. « Tu peux, je te cacherai… euh… avec ça… ? ». Il essaie avec leurs boissons, il essaie avec ses mains, avec n’importe quoi pour en rire. Il fait semblant de se dresser devant comme s’il protégeait une star mondiale. « Mais ce n’est pas grave. Ça fait du bien, d’exprimer ce qu’on ressent. J’essaie très fort avec Attis, mais j’ai l’impression de ne jamais y arriver. Je ne sais pas si c’est parce que je m’y prends très mal. ». Le sentiment de ne jamais y arriver.
Il se mord un peu les lèvres, les épaules se soulevant doucement. « Attis n’a jamais été très éloquent, mais je suppose qu’il va bien ? Il ne change pas et reste fidèle à lui-même, même si je traine autour de lui et lui pose pleins de questions. Il répond brièvement, mais il parle. ». En vérité, il n’a jamais su s’il faisait les bonnes choses, son regard trahit une inquiétude. La sienne, de mal s’y prendre et celle envers son petit frère. Le dessinateur n’arrive pas à percer la carapace de celui-ci, à peine à lui insuffler un sourire et encore moins quelques mots sur ses sentiments. De brèves conversations. « On a discuté de vouloir adopter un chien. Je crois que c’est la première fois qu’il était plus expressif. Je pense que ça peut l’aider à se sentir moins seul ? Tu as des animaux ? ». Eros travaille beaucoup et leur mère également.
Une présence serait peut-être agréable pour lui ? Il ne veut que du bien auprès de chacun. Il est sûrement une personne oubliable, une personne qui ne mérite pas l’attention, le soutien et encore moins d’amour, alors, il s’évertue à tout donner aux autres. De ce qu’il ne mérite pas et qu’il ne devrait pas recevoir. Avec sincérité. À défaut de se mentir à lui-même. Il rit doucement, tapotant l’épaule de son ami. « Tu peux, je te cacherai… euh… avec ça… ? ». Il essaie avec leurs boissons, il essaie avec ses mains, avec n’importe quoi pour en rire. Il fait semblant de se dresser devant comme s’il protégeait une star mondiale. « Mais ce n’est pas grave. Ça fait du bien, d’exprimer ce qu’on ressent. J’essaie très fort avec Attis, mais j’ai l’impression de ne jamais y arriver. Je ne sais pas si c’est parce que je m’y prends très mal. ». Le sentiment de ne jamais y arriver.
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Une question qui le fait hésiter. Il ouvre la bouche, mais les souvenirs de son adolescence empêchent le moindre son de sortir. Le lointain souvenir d’une enfance troublé, enfance qu’il préfère laisser au passé pour laisser la personne qu’il a lui même construit sur le devant de la scène. Un petit rire s’échappe pourtant de ses lèvres, balayant les nombreux doutes qui enchaînaient ses cordes vocales.
L’oreille attentive, le regard bienveillant, il laisse son ami s’exprimer. Une petite tape sur l’épaule pour tenter de rassurer l’inquiétude qu’il semble lire dans ses yeux. Les interactions sociales sont loin d’être faciles, et briser la carapace de quelqu’un peu parfois prendre du temps.
Cet échange de bon sentiment commence à être un peu trop à gérer pour le plus vieux qui sent déjà les larmes lui montrer. Sensible dans l’âme, pleurer devant quelqu’un ne le gène pas le moins du monde, il a cependant appris à rester pudique sur ses sentiments. Non pas qu’ici, il se soucie de montrer ce qu’y est à tort pris pour de la faiblesse, il ne voulait juste pas gâcher cette ambiance chaleureuse et rempli de bienveillance. Et il faut dire que la réaction du plus jeune était parfaite. Le voyant soulever divers objets pour tenter de le cacher aux yeux des autres clients du café, Taeil se mit à rire de bon cœur, de quoi alléger l’atmosphère un temps. Son rire se transforme en un sourire réconfortant, toujours attentif au tracas de son ami. Sa main se pose doucement sur son épaule dans un geste rassurant.
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Il tapote l’épaule de son ami avec sympathie. « Je dirai que l’important est de voir aujourd’hui comment tu es plutôt que ce que tu étais ? On a tous des trucs pas très glorieux quand on était ados. Je ne veux qu’on trouve ce que j’ai pu faire comme bêtises. On a une réputation de grands-frère à tenir. ». Cela l’amuse, sous les rétines brillantes qui ne sourient pas, cette fausseté dans le regard envers une personne qu’il apprécie sincèrement. Prêtant une oreille attentive à ces mots, à ces doutes, répondant avec cette sincérité brisant le cœur et cette gentillesse qui le fait sentir si coupable de ne pas pouvoir en faire autant. Lui sait que ses heures sont comptées, un cadran qu’il regarde chaque jour un peu plus, malgré les aventures, malgré les douceurs. Celui de savoir qu’il empiète dans la vie des autres à défaut de trouver sa propre voie. Que Taeil soit aussi heureux, mérité sous un passif qu’il ne connait pas, néanmoins, que son futur en soit parsemé de beauté. Et d’autant de douceur que la sienne.
« Tu voudrais un chien ? Je connais quelques refuges. C’est vrai que cela a un certain coût, mais pour Attis, je me dis que cela peut être bien ? Il est un peu solitaire et je ne suis pas toujours à la maison. Avoir un peu de compagnie tous les jours peut l’aider, même un peu ? ». L’illustrateur sait que cela ne sera pas de tout repos, néanmoins, il s’échinera davantage en freelance ou durant les heures de gardes avec les pompiers pour des avantages financiers. Cela est en réflexion, prenant les tenants et aboutissants, dans l’optique de faire plaisir à ce petit-frère qui ne pense sûrement pas comme lui. Eros, enfant amoureux de ce qu’il ne peut pas, aimant la noirceur comme solution de secours à ce qu’il n’a jamais vécu. À travers les rires sous les badineries avec son voisin, dissimulant qu’il ne serait même pas capable de briser un verre sans que cela ne l’écorche, pleurant les genoux au sol et la déception envers sa propre personne.
Même les mots résonnent parfaitement, comme un très bon ami. Comme une personne de confiance, un individu si bienveillant. Tout ce dont il n’est pas capable d’être. « Merci, sincèrement. Je pense qu’il a choisi l’art par rapport à moi, mais je pense qu’il aime tout de même cela. Il… Il ne parle pas beaucoup, ni est expressif sur ses envies. Je pense qu’il sera content pour le chien. Pour le reste, je n’ai pas l’impression que la foule ou un endroit bondé serait bien. Quelque chose de plus discret, où il peut se perdre dans ses pensées… une expo, oui. Ou les jeux-vidéos. Je sais qu’il aime cela. Le Mahjong aussi. ». Cela l’amuse, soufflant du nez sous ce constat. Il en oublie les crises nocturnes, cette peur du noir dont il s’assure de conserver un rayon de lumière à chaque fois. Comme les légumes plus que la viande et toutes ces spécificités qu’il connait.
Il lui offre un faible sourire, quelque peu timide. « Je veux juste bien faire les choses ? ». Comme tout ce qu’il entreprend, sans comprendre qu’il est fatigué, le dessinateur. Que ses muscles en tremblent, que sa tête est pleine à craquer, que son cœur est éreinté. Qu’il veut pouvoir disparaitre en ayant offert le maximum à ses proches. « Que ce soit avec Attis. Avec toi, même avec la petite mamie qui appelle tous les jours pour nous voir en tenue de pompier. », essaie-t-il avec ses souvenirs, ses dizaines et dizaines de personnes aperçues depuis ces années. Des coups et des blessures de son enfance, des stigmates qu’il n’a jamais pu réparer. Pas encore. Et probablement jamais.
« Tu voudrais un chien ? Je connais quelques refuges. C’est vrai que cela a un certain coût, mais pour Attis, je me dis que cela peut être bien ? Il est un peu solitaire et je ne suis pas toujours à la maison. Avoir un peu de compagnie tous les jours peut l’aider, même un peu ? ». L’illustrateur sait que cela ne sera pas de tout repos, néanmoins, il s’échinera davantage en freelance ou durant les heures de gardes avec les pompiers pour des avantages financiers. Cela est en réflexion, prenant les tenants et aboutissants, dans l’optique de faire plaisir à ce petit-frère qui ne pense sûrement pas comme lui. Eros, enfant amoureux de ce qu’il ne peut pas, aimant la noirceur comme solution de secours à ce qu’il n’a jamais vécu. À travers les rires sous les badineries avec son voisin, dissimulant qu’il ne serait même pas capable de briser un verre sans que cela ne l’écorche, pleurant les genoux au sol et la déception envers sa propre personne.
Même les mots résonnent parfaitement, comme un très bon ami. Comme une personne de confiance, un individu si bienveillant. Tout ce dont il n’est pas capable d’être. « Merci, sincèrement. Je pense qu’il a choisi l’art par rapport à moi, mais je pense qu’il aime tout de même cela. Il… Il ne parle pas beaucoup, ni est expressif sur ses envies. Je pense qu’il sera content pour le chien. Pour le reste, je n’ai pas l’impression que la foule ou un endroit bondé serait bien. Quelque chose de plus discret, où il peut se perdre dans ses pensées… une expo, oui. Ou les jeux-vidéos. Je sais qu’il aime cela. Le Mahjong aussi. ». Cela l’amuse, soufflant du nez sous ce constat. Il en oublie les crises nocturnes, cette peur du noir dont il s’assure de conserver un rayon de lumière à chaque fois. Comme les légumes plus que la viande et toutes ces spécificités qu’il connait.
Il lui offre un faible sourire, quelque peu timide. « Je veux juste bien faire les choses ? ». Comme tout ce qu’il entreprend, sans comprendre qu’il est fatigué, le dessinateur. Que ses muscles en tremblent, que sa tête est pleine à craquer, que son cœur est éreinté. Qu’il veut pouvoir disparaitre en ayant offert le maximum à ses proches. « Que ce soit avec Attis. Avec toi, même avec la petite mamie qui appelle tous les jours pour nous voir en tenue de pompier. », essaie-t-il avec ses souvenirs, ses dizaines et dizaines de personnes aperçues depuis ces années. Des coups et des blessures de son enfance, des stigmates qu’il n’a jamais pu réparer. Pas encore. Et probablement jamais.
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Un hochement de tête, attentif aux mots de son cadet, le sourire qui s’agrandit et les yeux toujours emplis de bienveillance.
Ses sourcils se froncent un peu, les paroles prononcées attirant encore un peu plus son attention. Il se repositionne sur sa chaise pour bien faire face à son ami.
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You seem happier than ever now,
And I guess that I should tell you I'm sorry
It seems I was the problem somehow
Maybe I only brought you down
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Le jeune se mord doucement la lèvre sous les mots de son ainé, essayant de rendre toutes ses syllabes percutantes pour son âme en perdition. D’écarter ce sentiment de culpabilité écrasante dans sa poitrine, de ne pas bien réaliser les choses, de se planter dans ses choix. Malgré l’assurance que lui offre le jeune homme à son égard, comment peut-il être certain que son jeune frère accepte cela ? Une décision irréfléchie, des propositions hasardeuses et qui peine son cœur à trouver cela raisonnable lorsque son encéphale noirci lui hurle qu’il finira par tasser Attis dans un mauvais chemin.
Qu’Eros n’est pas ce qui lui faut dans sa vie. Que combler par un animal, une activité quelconque ou des centres d’intérêts communs ne pourront faire subsister ce lien si fragile établit entre cette famille décousue. Cela lui noue l’estomac, lui brûle la gorge d’un acide sirupeux et se contrôle pour que cela ne s’exprime pas à travers ses yeux. Que cette fragilité ne soit autre que la sienne, de ses doutes et ses moments sombres, pensant que cela n’est pas bien pour l’autre. Qu’il bouche les semblants d’affections lorsqu’il n’y a que du vide.
« Merci, Taeil. Pour tes mots, cela me rassure. Peut-être que cela finira par se décanter ? Même si je ne sais pas comment. Je l'espère, juste. ». Avouant encore des faiblesses qu’il n’arrive à ensevelir. Ce mensonge n’est pas bien à l’égard de son hôte qui ne sait rien de la nature même de cette relation. De ce lien fraternel n’étant lié que sur un bout de papier et non par le sang. Que les attaches soient factices, que le mutisme est encore trop présent et la réciprocité si oubliée que cela en est fondamentalement douloureux. Eros n’est qu’un piète comédien, pleurant à chaude larme une fois le masque tombé.
Comment peut-il le croire ? Après ces années, sans changement. Même pas un mot, même pas un geste. L’illustrateur n’est qu’un déluge qui condamne les autres à l’Enfer. Il n’est pas sain pour les autres. Il ne le sera jamais. « Mais, ça ne m’a jamais dérangé de t’aider et je le referais si c’est possible. Peu importe tes difficultés, n’hésite pas à m’appeler et je viens. ». Il accourra, même s’il est tremblant, éreinté, il rampera jusqu’à s’époumoner pour le bien de son ami. « Même pour parler, même un message ou pour gérer instagram. Tu peux me faire confiance, je serai toujours là pour toi. ».
Odieux personnage, pensant s’aider en offrant son cœur et se débarrasser de ses sombres songes. D’offrir jusqu’à s’écorcher, pour laisser une marque positive en chacun lorsqu’il n’éprouve pas l’ombre d’un espoir en sa propre personne. Même en posant sa main sur l’épaule en guise de réconfort lorsqu’il désire laisser libre cours à ses larmes et son chagrin. De ne pas réussir, d’échouer dans tout ce qu’il entreprend. De ne pas avoir sa place dans ce monde. Ils seront tous mieux sans lui, qui n’arrive même pas s’aimer un tant soit peu.
« Assez parler de moi, je t’embête déjà bien avec tout ça et ce n’est pas joyeux. Parle-moi de toi, quelque chose de joyeux dans ta vie. Y-a-t-il quelque chose de surprenant ? De bien ? D’intéressant ? ». Même un rien lui suffit, même un tout le rendra aussi heureux. Le conformisme à l’état pur, sous la cage thoracique malade de ne plus vouloir se sentir aussi comprimée de lassitude de combattre ce qu’il se meurt au fond de lui. Se jetant à la mer pour se noyer lentement, laisser une petite trace en chacun avec l’espoir qu’ils seront bien. Qu’ils y arriveront, qu’ils surmonteront tous les obstacles. « Rien n’est bête. Je te parle parfois de mes interventions inutiles avec des chats coincés ou des futures mamans paniquées. ». Tout ce dont il n’a pas le droit.
Qu’Eros n’est pas ce qui lui faut dans sa vie. Que combler par un animal, une activité quelconque ou des centres d’intérêts communs ne pourront faire subsister ce lien si fragile établit entre cette famille décousue. Cela lui noue l’estomac, lui brûle la gorge d’un acide sirupeux et se contrôle pour que cela ne s’exprime pas à travers ses yeux. Que cette fragilité ne soit autre que la sienne, de ses doutes et ses moments sombres, pensant que cela n’est pas bien pour l’autre. Qu’il bouche les semblants d’affections lorsqu’il n’y a que du vide.
« Merci, Taeil. Pour tes mots, cela me rassure. Peut-être que cela finira par se décanter ? Même si je ne sais pas comment. Je l'espère, juste. ». Avouant encore des faiblesses qu’il n’arrive à ensevelir. Ce mensonge n’est pas bien à l’égard de son hôte qui ne sait rien de la nature même de cette relation. De ce lien fraternel n’étant lié que sur un bout de papier et non par le sang. Que les attaches soient factices, que le mutisme est encore trop présent et la réciprocité si oubliée que cela en est fondamentalement douloureux. Eros n’est qu’un piète comédien, pleurant à chaude larme une fois le masque tombé.
Comment peut-il le croire ? Après ces années, sans changement. Même pas un mot, même pas un geste. L’illustrateur n’est qu’un déluge qui condamne les autres à l’Enfer. Il n’est pas sain pour les autres. Il ne le sera jamais. « Mais, ça ne m’a jamais dérangé de t’aider et je le referais si c’est possible. Peu importe tes difficultés, n’hésite pas à m’appeler et je viens. ». Il accourra, même s’il est tremblant, éreinté, il rampera jusqu’à s’époumoner pour le bien de son ami. « Même pour parler, même un message ou pour gérer instagram. Tu peux me faire confiance, je serai toujours là pour toi. ».
Odieux personnage, pensant s’aider en offrant son cœur et se débarrasser de ses sombres songes. D’offrir jusqu’à s’écorcher, pour laisser une marque positive en chacun lorsqu’il n’éprouve pas l’ombre d’un espoir en sa propre personne. Même en posant sa main sur l’épaule en guise de réconfort lorsqu’il désire laisser libre cours à ses larmes et son chagrin. De ne pas réussir, d’échouer dans tout ce qu’il entreprend. De ne pas avoir sa place dans ce monde. Ils seront tous mieux sans lui, qui n’arrive même pas s’aimer un tant soit peu.
« Assez parler de moi, je t’embête déjà bien avec tout ça et ce n’est pas joyeux. Parle-moi de toi, quelque chose de joyeux dans ta vie. Y-a-t-il quelque chose de surprenant ? De bien ? D’intéressant ? ». Même un rien lui suffit, même un tout le rendra aussi heureux. Le conformisme à l’état pur, sous la cage thoracique malade de ne plus vouloir se sentir aussi comprimée de lassitude de combattre ce qu’il se meurt au fond de lui. Se jetant à la mer pour se noyer lentement, laisser une petite trace en chacun avec l’espoir qu’ils seront bien. Qu’ils y arriveront, qu’ils surmonteront tous les obstacles. « Rien n’est bête. Je te parle parfois de mes interventions inutiles avec des chats coincés ou des futures mamans paniquées. ». Tout ce dont il n’a pas le droit.