i.t.e.msong || outfit || @park tae ho

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« Tiens. J’étais à deux doigts de t’envoyer la photo et de te faire chercher dans toute la ville. ». Mot énoncé en lançant le bien vers la personnalité en face de lui, la nonchalance à peine voilée. Heureusement pour lui, l’accès à cet endroit est plus aisé qu’imaginé, en raison de son passif. Son nom suffit à ouvrir les portes et ainsi déambuler à travers les couloirs déjà empruntés. Dans la salle de dance, il observe attentivement les alentours, les muscles meurtris de ne pouvoir se mouvoir comme il le réalisait autrefois dans l’enceinte du bâtiment. Les rétines finissent néanmoins par se cheviller à son interlocuteur, les paumes enfouies dans les poches de manière profonde. « J’ai fait le chemin jusqu’ici, ça mérite un cadeau de remerciement. ». Suivi d’un clin d’œil taquin pour celui qui ne lésine jamais sur ce principe, saupoudré de son sourire aussi démoniaque que les entités régnantes en Enfers.

La tignasse se secoue sous la musicalité en fond, le corps bougeant sensiblement de lui-même comme une vague sur la mer agitée. « Je te préviens, je ne fais pas de cadeau parce qu’on se connait. ». La caboche du loup se penche légèrement sur le côté, les pupilles acérées venant s’ancrer chez leurs jumelles pour mieux l’y contraindre. Observant chaque détail, chaque mimique et chaque réaction de la part du jeune homme, prêt à saisir la moindre incartade pour l’avaler pleinement entre ses crocs aiguisés. « Tu travailles sur une nouvelle chorégraphie ? ». Finalement, désespérément, le condamné retourne toujours à son crime, le désir d’en connaitre les tenants et les aboutissants de ce qu’il ne côtoie plus. Avec le regret aussi amer que la rage brillante dans ses yeux, éclipsées bien trop vite par un air diablotin. Comme prêt pour la pire des situations, s’avançant comme un prédateur prêt à dévorer au moindre mouvement.

i.t.e.m@love ye jun

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(( ootd)) || Concentré dans ta séance d'entraînement de danse, tu ne remarques que quelqu'un entre dans la salle qu'au moment où une voix te parvient et te fait sursauter violement. Tu tournes la tête vers l'intrus, reconnaissant Ye Jun qui te lance quelque chose, et tu fais de ton mieux pour choper le "quelque chose" au vol, mais l'objet blanc ne fait qu'effleurer tes doigts avant de s'écraser au sol pendant que ton ami te parle de te faire chercher dans toute la ville. Tu fronces les sourcils, perplexe, avant de reconnaître l'objet que tu viens de ramasser.

Mon bonnet ! Tu l'as retrouvé ! Il était où ?

Surpris que quelqu'un l'ait retrouvé et, surtout, que ça soit une de tes connaissances et pas un inconnu qui l'aurait revendu à prix d'or en comprenant qu'il t'appartenait, tu esquisses un sourire béat en te dirigeant vers un banc pour poser l'accessoire près de tes affaires. Puis tu t'avances vers Ye Jun pour le prendre dans tes bras, t'arrêtant à un pas de lui quand il te demande une récompense pour le trajet effectué.

Passer du temps avec moi n'est pas suffisant ? J'ajoute un câlin si tu veux ?

Tu ouvres les bras pour l'inviter dans une accolade fraternelle, mais Ye Jun ne semble pas satisfait et te préviens de son exigence en matière de récompense, ce qui te fait retomber les bras avec une moue faussement boudeuse.

Bon, je demanderai à mon manager de te verser de l'argent si tu préfères ça à mes câlins.

Tu croises les bras, comme un enfant à qui on aurait refusé une sucette et joue avec la pointe de ta chaussure sur le parquet pour bien appuyer ta fausse bouderie. Ye Jun t'interroge sur ton occupation du moment et tu hausses les épaules.

J'peux pas dire.

Voilà, un gros bébé boudeur. Bel exemple de maturité à donner à tes fans, ça !

i.t.e.msong || outfit || @park tae ho

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Les babines viennent s'ourler de son sourire malin, sous l’air renfrogné par le désintérêt du danseur envers l’autre. Sous le manque de vérité, tintant ses réponses par une observation silencieuse de la comédie orchestrée d’une image lointaine à ce que les écrans ont l’habitude de côtoyer. Ainsi, l’ancien chorégraphe se redresse et, de quelques pas, se postent devant le plus grand. Les bras s’ouvrent lentement, venant entourer la fine taille de celui dont le passif est marqué par les stigmates corrosifs. De l’enlacer pleinement entre ses pattes, ses lèvres du loup venant s’écraser sur la joue dans un geste soudain : laissant son sillage une trainée mordante, sans gravité. Et le rire qui s’exporte pour toute réponse à son indélicatesse, sans laisser l’opportunité à sa victime de s’échapper. « C’était ça ou la bave, à toi de choisir. Je peux toujours combler l’autre. ». Haussement de sourcils espiègle, mimant l’approche afin d’exécuter ses dires. Qu’il finit tout de même par relâcher sous un rire honnête. Menace silencieuse de mettre en exécution devant le prochain refus.

« Ramène-moi des nouvelles personnes à ma salle et on oublie l’argent. ». Lui qui n’en a pas besoin, sous la richesse exubérante d’un travail acharné. Lorgnant sur la tragédie qu’il a délibérément délaissée, laissant un gouffre dans son battant et son âme, hurlant de tristesse. « On m’ouvre les portes quand je veux. Je finirai forcément par le savoir, donc, ne perdons pas de temps et dis-moi sur quoi vous bossez en ce moment. ». Venin d’une vérité acerbe, l’ancien danseur s’accrochant à sa passion explosive et marquant ce déni par des mots abrupts. Si l’expression reste délicate et maîtrisée, les yeux trahissent l’envie de se retrouver sur une piste abandonnée. D’aider au meilleur des positionnements. De démontrer la souplesse ou la force à octroyer, l’expressivité à déployer. La danse est un art avec lequel les corps expriment les sentiments. Il enroule son bras autour de la taille, apposant une caresse délicate, comme un frère désirant rassurer sans le dire, oralement. Avant de se reculer et de pencher la tignasse. « Alors, le main dancer, où tu te situes ? ». La tentation dans la provocation.