You may be on my mind everyday, baby.

@Hwang Tae Yang

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La surprise se dessina sur son visage alors que la sonnette de son appartement retentissait, l’obligeant à arquer brièvement un sourcil. D’aussi loin qu’elle se rappelait, Ji Hae n’attendait pourtant personne, pas même un livreur, surtout à cette heure ; probablement la voisine qui avait besoin de quelque chose ou qui, peut-être, avait un problème. La raison pour laquelle la jeune femme n’attendit pas pour enfiler un peignoir, quitter la salle de bain, tout en continuant de se sécher les cheveux à l’aide d’une serviette. Evidemment, l’idée que cela puisse être une personne suspicieuse, ou même un psychopathe, lui avait aussi traversé l’esprit ; elle n’était pas assez folle pour ouvrir, sans savoir ce qu’il en était puis, au moindre doute, elle pouvait toujours s’emparer d’un de ses sabres afin de se défendre. Ses cheveux mouillés longeant son épaule, elle les essuyait frénétiquement, tandis qu’elle positionna son œil dans le judas, sans reconnaître immédiatement l’individu qui se tenait devant sa porte. Tout ce qu’elle voyait était un garçon louche, avec son masque et sa casquette sur la tête car, lorsqu’on cherchait à dissimuler son visage, c’était forcément étrange n’est-ce pas ? Prête à se décaler, abandonné son drap de bain, et se saisir d’un de ses katanas qui se trouvait près de l’entrée, elle interrompit toute intention, lorsque le suspect dévoila finalement sa figure. La main sur le cœur, Ji Hae poussa un long soupir, soulagé, avant d’ouvrir aussitôt la porte, un immense sourire aux lèvres dans un « Tae Yang ! Qu’est-ce que tu fais là ? » Visiblement enchantée de cette visite soudaine. Sa serviette rejoignit immédiatement son épaule alors qu’elle prononçait ses paroles, apparemment pas inquiète du peu de tenue qu’elle portait. Après tout, son corps n’était aucunement dévoilé, entièrement caché par la robe de chambre qu’elle portait.

« Non, non pas du tout. » Le rassura-t-elle en agitant sa main devant elle, en complément à ses mots « Je sors juste de la douche. » Au cas où son ami ne l’avait pas encore remarqué, effectivement. Et par ses propos, sûrement que la jeune fille ne faisait qu’accentuer la gêne de ce dernier, toutefois elle n’avait pas l’air de réellement s’en apercevoir. « Mais non, ça me fait plaisir de te voir. » Et elle était sincère, elle ne disait jamais des choses qu’elle ne pensait pas. « Je t’en prie entre. » Sur ses dires, elle se poussa afin de le laisser passer puis de fermer derrière lui. « Installe-toi, je me change et j’arrive. » Enfoncer le couteau dans la plaie, Ji Hae paraissait aimer faire ça involontairement, ce n’était pas possible. Fredonnant, elle retourna ainsi dans la salle de bain, de manière à enfiler une tenue plus convenable – Petit short et tee-shirt – puis revint quelques instants plus tard, les cheveux toujours mouillés. « Je te sers quelque chose à boire ? » l’interrogea-t-elle, ne souhaitant pas s’asseoir sans savoir si Tae Yang désirait quoi que ce soit, puis lorsqu’elle obtint la réponse, elle partit prendre le nécessaire et s’installa ensuite au côté du jeune homme. « Je te manquais pour que tu débarques soudainement chez moi ? » C’était plus fort qu’elle de le charrier, mais ce n’était pas méchant et, naïve, elle n’imaginait même pas que cela pouvait être réellement le cas. Pourquoi lui manquerait-elle ? Ils avaient beau être proches tous les deux, ils ne l’étaient pas au point de se manquer l’un l’autre, non ? Hors, ses réactions avaient tendance à démontrer le contraire puisque, à chaque fois qu’elle voyait Tae Yang, elle resplendissait toujours de bonheur, une belle esquisse pleine de sincérité accrochée à ses lèvres. Comme en ce jour où, après l’avoir reconnu, elle s’était empressé d’ouvrir la porte dans un somptueux sourire, vraiment ravie de la surprise offerte par son ami.

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Probablement que lorsqu’elle réaliserait la situation – ce qui n’était pas prêt d’arriver – Ji Hae se sentirait un semblant désolé envers son ami qu’elle avait embarrassé, à cause de la tenue qu’elle portait. Bêtement, elle n’avait pas imaginé que Tae Yang pouvait la voir comme une femme, ce qu’elle était en soit, et c’était certainement dû au fait qu’elle était souvent trop à l’aise en sa présence. Elle était toujours elle-même avec lui, elle n’avait pas besoin de faux semblant et il l’acceptait telle qu’elle était. Il était en vérité l’homme qui lui fallait, cependant elle ne l’avait jamais envisagé de cette manière ; peut-être parce qu’elle avait toujours cru qu’il ne la voyait comme une amie et que, indirectement, elle n’avait pas essayé de voir plus loin de ce qu’elle avait sous les yeux. Le garçon avait toujours été là, même lorsqu’elle sortait avec son ex-petit ami, et c’était la principale raison pour laquelle, selon elle, il n’y avait que de l’amitié. Dans ce genre de circonstances, Ji Hae était un peu naïve, tout comme elle avait tendance à se voiler la face, hors elle appréciait leur relation comme elle l’était. Et c’était une autre raison du pourquoi, elle n’avait jamais réfléchi autrement, car tout lui semblait évident que c’était forcément ainsi, et non pas différemment. Pourtant, les réactions de l’idole auraient dû l’interpeller, sa gêne, ses rougeurs mais, bêtement, la jeune fille n’avait rien remarqué, partant tranquillement se changer, pendant que lui s’installait.

« Je vais me prendre un thé aussi. » Répondit-elle à sa rétorque, une esquisse au coin des lèvres. Les températures se rafraichissaient doucement – mais elle se promenait en short – donc une boisson chaude ne pouvait faire que du bien. Certes, dans son appartement, il ne faisait pas particulièrement froid mais l’automne était bien présent, et elle appréciait le plaisir d’un thé lors d’une telle saison. Elle s’absenta quelques minutes, le temps de préparer leurs boissons puis revenir avec, venant ensuite s’asseoir au côté du jeune homme, un autre sourire sur le visage alors qu’il la remerciait. « Je n’ai jamais dit que je ne voulais pas de toi. Je ne t’aurais pas laissé rentrer si c’était le cas. » Ou menacer à coups de sabre, comme elle avait failli le faire en le méprenant pour une personne louche. « Maintenant que t’es là, je ne te laisse plus filer ! » Pour compléter ses mots, elle entoura ses bras autour du sien, indiquant par ce geste qu’elle le kidnappait. Un rire franc s’échappa de sa bouche alors qu’elle le relâchait, évidemment qu’elle ne comptait pas le monopoliser non plus, toutefois c’était sa façon de lui montrer que sa visite lui faisait sincèrement plaisir. « Tu as bien fait. Je suis toujours de bonne compagnie il paraît. » Et sinon à part ça, les chevilles ça allait ? Vraisemblablement puisque, jusqu’à maintenant, elles n’avaient toujours pas gonflé. « Pas grand-chose. Juste flemmarder. Je me suis beaucoup entraînée aujourd’hui donc un peu de repos, ça ne fait pas de mal aussi. » Certes, Ji Hae tenait rarement en place néanmoins, le soir quand elle rentrait, elle appréciait ses petits moments de détente. « Puisque tu es là, tu veux flemmarder avec moi ? » Drôle de programme effectivement hors n’était-ce pas déjà ce qu’ils faisaient ? Confortablement calé sur le canapé, à discuter doucement leur thé et à discuter, elle ne demandait pas grand-chose de plus.

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« Tout de suite les grands mots. » Déclara Ji Hae d’un ton exagéré alors que son ami mentionnait son talent pour découper les choses. Ceci dit, c’était vrai qu’à quelques minutes près, Tae Yang avait manqué de finir en petit morceau, parce qu’elle le trouvait suspicieux néanmoins cela aurait été uniquement par légitime défense. Elle n’attaquait pas les gens sans raison, et surtout pas car elle ne les aimait pas ; heureusement d’ailleurs sinon son frère aurait probablement été sa première victime, après toutes les choses grotesques qu’il avait pu lui faire. Certes, ce n’était que des chamailleries, c’était de bonne guerre à chaque fois cependant pour sûr que Ji Hae l’avait détesté et maudit à plus d’une reprise. En tout cas, afin de compléter ses paroles, et le fait qu’elle était contente de sa visite, elle l’attrapa par le bras, ne souhaitant aucunement le laisser filer. Comme elle le déclarait, maintenant que son camarade était là, elle le kidnappait, rien que pour elle. Avec l’emploi du temps de l’idole, ce n’était pas toujours facile de se voir donc, lorsqu’ils se voyaient, elle souhaitait en profiter. Puis, c’était toujours agréable d’avoir un peu de compagnie, surtout quand celle-ci portait le nom de Hwang Tae Yang. « Comment ça tu n'as pas trop le choix ? » S’offusqua faussement la demoiselle, le fixant avec les yeux plissés et les sourcils froncés. Le garçon ne pouvait pas lui mentir, Ji Hae savait qu’il l’adorait ; il n’aurait pas débarqué à son appartement, en pleine soirée, s’il n’appréciait pas sa présence. « Qu’est-ce que tu fais là alors ? » Taquine, elle persistait à l’être, une esquisse amusée et espiègle accrochée à ses lèvres tandis qu’elle pressait son doigt contre sa joue, en accompagnement à ses dires. « Je sais que tu ne peux pas te passer de moi, n’essaie pas de dire le contraire. » Elle aimait le charrier, elle adorait ça, pourtant en réalité, elle n’avait pas la moindre idée de ce qu’elle représentait aux yeux de son camarade. A croire que même une fille aussi forte et courageuse qu’elle gardait en elle ce petit côté naïf.

Et il était d’ailleurs rare de l’entendre vouloir « flemmarder », hors cela lui arrivait parfois, comme ce soir où elle souhaitait simplement se détendre. Tae Yang avait choisi le bon jour pour lui rendre visite, c’était parfait, et vraisemblablement lui aussi était d’accord avec ses choix d’occupation, concernant la soirée. Une remarque qui n’étonnait pas vraiment la jeune femme, puisqu’elle savait ô combien le programme des artistes étaient chargés, sans parler de toute la pression qu’ils subissaient. « Comme tu préfères ! » Ils pouvaient tout aussi bien faire les deux, mettre un film en fond et juste papoter, comme ils étaient en train de le faire actuellement. La suite des paroles du garçon la fit sourire, lui donnant envie de le taquiner davantage cependant il ne lui en laissa pas l’opportunité, tentant de se rattraper au plus vite. « Pas pour le moment, non. » Ji Hae aurait pu l’interroger, lui demander pourquoi une telle question soudainement, néanmoins elle n’en fit rien. Au lieu de ça, elle se tourna légèrement sur le canapé, position de profil, alors que de son coude posé sur le dossier, elle calait son visage contre son poing avant de fixer le jeune homme à ses côtés. « Comment ça tu es tout à ma disposition ? » Ses lèvres s’étirèrent dans une esquisse malicieuse, la jeune femme réduisant un peu plus la distance installée entre eux, sans jamais détacher son regard du garçon. « Sorti de son contexte, tu sais que ça peut être bizarre ? » Bon, c’était peut-être elle qui avait un esprit trop ouvert toutefois ceci n’était que détail ; Tae Yang était celui qui avait tendu la perche en premier.

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Si elle aimait bien le taquiner, Tae Yang aimait aussi en faire de même, et c’était sûrement la raison pour laquelle le courant passait si bien entre eux. « Et qu’est-ce que tu veux qui m’arrives Monsieur qui avait peur de se faire découper par ma personne à l’instant ? » Du tac au tac, Ji Hae avait toujours la bonne répartie et elle ne pouvait qu’en rigoler. Il n’y en avait pas un pour rattraper l’autre hors, les concernant, c’était également de bonne guerre. Ils se charriaient mais tous deux savaient que ni l’un ni l’autre ne pensait vraiment ce qu’ils racontaient ; le pourquoi ils ne se vexaient jamais de leurs bêtises, ou tout du moins très rarement. Aujourd’hui, la jeune femme n’avait pas de raison d’être offensée des propos de son ami, puisqu’elle savait très bien ce que Tae Yang pensait d’elle – en tout cas, elle croyait savoir – et qu’il ne partirait pas, quoi qu’elle rétorquerait. « Tu veux que j’aille te les chercher ? » Toujours joueuse, toujours à rire, elle était prête à aller lui récupérer ses chaussures, si c’était ce que son camarade désirait. Mais puisque tout ceci n’était que des plaisanteries, parler de flemmarder et quel genre d’activité effectuer ce soir était beaucoup mieux.

C’était ce que Ji Hae songeait jusqu’à ce que son invité surprise ne fasse une remarque plutôt inattendue, une remarque qui la fit sourire, au point de ne pas relancer sa rétorque suivante et l’observer de ses yeux sombres. Elle souhaitait juste le taquiner un peu, comme elle le faisait habituellement, elle ne pensait pas le déstabiliser autant. Probablement que cela se refléta dans ses prunelles qui contemplaient l’idole, et son visage qui se pourprait peu à peu. « Pourquoi tu rougis ? » Mettre les pieds dans le plat, visiblement, Ji Hae appréciait ça également. La bonne attitude à adopter aurait été de faire semblant de n’avoir rien vu, d’ignorer la gêne qui se lisait sur la figure de son camarade, causée certainement par ses propos quelque peu mal placés. Tae Yang était celui qui avait commencé, elle n’y pouvait rien, elle, s’il l’esprit de son ami était plus sain que le sien.  Ou peut-être pas finalement, puisqu’il lui proposait un massage. Le faisait-il exprès ? Incapable de résister, la jeune femme ne put que rire, en le voyant insister et se justifier – sûrement avait-il lu l’expression dans son regard – ce qui rendait le moment encore plus suspicieux. « Je tiens à préciser que je n’ai rien dit. » Rigola-t-elle de plus bel, sans jamais détourner son regard ailleurs que sur le garçon. « Donc ça veut dire que dans le fond de toi, il y a sûrement un petit démon qui a de drôles de pensées. » En complément à ses paroles, elle fit tourner son doigt devant le jeune homme, un éclat plein de malice collée à sa figure ; encore une fois, Ji Hae aurait simplement pu se taire mais, au lieu de ça, elle continuait d’enfoncer le couteau dans la plaie. « Pour que tu me masses, est-ce que je dois me déshabiller ? » Sérieusement, Ji Hae ?! Si on lui demandait, elle répondrait qu’en règle générale, dans les salons de massage, il fallait avoir la peau nue, puisque pour les sensations, le contact, c’était plus facile non ?

 

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L’inverse n’était-il pas plus plausible ? Dans leur cas, effectivement, il y avait probablement plus de chance à ce que Ji Hae était celle devant venir en aide au prince en détresse, que le contraire. Oui, elle était une femme, et elle n’était pas invincible, toutefois elle pratiquait les arts martiaux puis, surtout, elle avait des tas de sabres dans son appartement qu’elle maîtrisait à la perfection. « Encore heureux. » Le taquina-t-elle. Tae Yang serait masochiste s’il souhaitait se faire découper en morceau et, la jeune femme avait beau avoir un sacré caractère, elle n’était pas encore dans ce délire là. « Je ne savais pas que tu étais encore un enfant. » Pourquoi lui lacerait-elle ses chaussures ? Elle était déjà bien aimable de proposer d’aller lui chercher, il ne fallait pas abuser de sa gentillesse. Evidemment, Ji Hae ne faisait qu’embêter son camarade, tous deux plaisantaient depuis quelques minutes, elle ne faisait qu’enchérir bêtise sur bêtise. Elle se calma toutefois un peu plus tard, invitant son camarade à l’accompagner dans sa flemmardise, parce que c’était plus sympathique de flemmarder à deux que toute seule.

En toute honnêteté, elle l’adorait, Tae Yang. C’était tellement plaisant de passer un moment avec lui, parce qu’elle pouvait rester elle-même, qu’elle ne se prenait jamais la tête en sa présence et que le temps semblait s’écouler toujours plus rapidement. Elle le voyait rougir, être déstabilisé, et c’était plus fort qu’elle de le taquiner, sans se douter que si son ami était mal à l’aise, ce n’était pas uniquement à cause de ses mots, mais car la demoiselle ne le laissait pas vraiment indifférente. N’importe qui à sa place le remarquerait, peut-être même que Ji Hae était l’unique personne à ne pas s’en rendre compte, et c’était le pourquoi souvent, sans le vouloir, elle mettait un peu plus les pieds dans le plat. Hors, de ce qu’elle constatait, l’idole avait visiblement un esprit plus mal placé que ce qu’il laissait croire, la faisant naturellement rire alors qu’elle persistait à l’embêter. Tae Yang ne marchait pas, il courait à ses remarques, essayant davantage de se justifier aux bêtises de la jeune fille qui ne faisait que le charrier, encore et encore. « T’es sûr ? » Et elle insistait, rigolant à ses paroles, avant de revenir sur le message gentiment proposé par le garçon. Devait-elle donc se déshabiller ? Il s’agissait, pour cette fois, d’une question complètement légitime ; elle ne s’imaginait pas l’embarrasser à cette demande, puisqu’elle s’interrogeait sincèrement sur le comment ils étaient censés fonctionner. Toutefois, elle aurait dû se questionner également puisque, même s’ils étaient tous les deux des amis, on n’était pas censé ôter ses vêtements de cette manière, entre un homme et une femme. Elle ne s’était juste pas posé la question, parce qu’elle avait confiance en Tae Yang, parce qu’elle était à l’aise en sa présence et sûrement parce qu’elle n’avait pas la moindre conscience de lui plaire. Quoi que, en vérité, même si elle avait su, certainement elle n’aurait éprouvé aucun mal à agir de la même façon, si lui n’en était pas dérangé… Puisque, de plus belle, elle lui faisait confiance.

La voix soudainement forte de l’artiste la fit légèrement sursauté. Était-ce oui ou était-ce non ? Pourquoi paniquait-il autant ? Plus elle l’observait, plus Ji Hae se le demandait et plus l’esquisse sur ses lèvres s’étirait dans un sourire plus doux, bien que toujours un peu amusé aussi. « Je le sais qu’il est là le petit démon, je le vois. » De nouveau, elle fit tourner son doigt devant lui dans un faible rire, avant de secouer la tête. Elle connaissait Tae Yang et elle savait tout le respect qu’il avait à son égard ; elle n’en avait jamais douté. « Non ben moi ça ne me dérange pas. C’est plus pour toi que j’ai un peu peur. » Elle ne l’avait jamais vu aussi rouge, c’en était presque perturbant ; ce qui ne l’empêcha pas d’ajouter, taquine « C’est la première fois qu’une femme te proposes d’enlever ses vêtements ? » Etait-ce réellement la question à poser maintenant ? Apparemment.