:: Flood :: RPs abandonnés
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Age : 25
Emploi/études : Gérant d'un club de boxe || ancien chorégraphe de renom, donne des cours occasionnels
Lieu d'habitation : Appartement à Bukseogu
Icônes :
Citation : [ A reflection of a crimson key ]
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Pseudo : b.yoshi
Pronoms : Il (perso) // Elle (IRL)
Avatar : Lee Know - SKZ
DC : mika // llewelyn // eros // asmodée // woojin // leon
Love Ye Jun Blueberry
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with: @ok theodule
Le coude se relève et cogne contre son voisin. Celui-là même contre qui la partie de jeux-vidéos devient une activité aussi lucrative qu’une rediffusion officielle retransmise sur les réseaux. Néanmoins, ils ne possèdent ni le niveau, ni la popularité. Ou, du moins, l’ancien chorégraphe ne fait plus circuler son nom comme une trainée de poudre. Désormais, celui-ci se retrouve à jouer contre son adversaire sur un petit jeu adorable. Prenant une bouchée d’une friandise dont il ne connait l’origine, il tourne la caboche afin d’observer son compagnon de jeu, haussant les sourcils d’un air taquin. « Tu en veux ? », bredouille-t-il, les mots entrecoupés par la gourmandise entre ses lèvres.
Connaissant son meilleur ami, il sait que cela n’est absolument pas concevable, d’où sa proposition et son sourire en coin, le diablotin comme seconde peau. Le conservant au bout des lippes, il revient sur son écran, les épaules en avant et le dos légèrement avachi. « Tu reviens quand ? À ma salle ? ». Encore une fois, les termes sont énoncés vaguement, les rétines pleinement absorbées par les images et le jeu choisi par son voisin de fortune. Il ne vient pas souvent ici, mais pour Theodule, il peut faire des concessions. Qui possèdent leurs limites, car Ye Jun n’en demeure pas moins qu’un ange déchu s’étant arraché ses propres ailes.
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Remember that happiness is a way of travel, it's not a destination.
« Je ne le touche même pas avec un bâton. » Une tête qui se secoue, un regard outré envers son ami à ses côtés, incapable de retenir la grimace qui s’esquisse sur les traits de son visage en pensant à son meilleur ami qui avale tout et n’importe quoi. Sans même savoir son origine. Ses pupilles se concentrent sur l’écran devant lui et un petit mouvement du corps qui s’arrête aux questions de son interlocuteur.
« Je reviens. Quand je peux. A ta salle. » Les mots énoncés un par un, sans regarder une fois Ye Jun parce qu’il sait pertinemment que ce dernier voudra lui casser la gueule s’il ose avoir un eye contact avec lui. « En plus, je suis venu il n’y a pas si longtemps. » Cela veut dire deux semaines. Pour Théodule c’est court comme période. Il ouvre la bouche, la referme, jette un regard en biais à Ye Jun et d’un mouvement de cul, il se déporte légèrement sur le côté, mettant de la distance entre eux. Légèrement.
« A part ça, tu n’as rien à me raconter ? » Hormis, me forcer à venir dans ta salle, est dit de façon sous-entendue, mais c’est présent. Il pousse les friandises vers son ami, ne touchant pas ces trucs-là, même pas d’un millimètre. « Tu veux pas faire d’escrime ? » Autant renvoyer l’ascenseur, peut-être qu’il dira oui ce démon.
« Je reviens. Quand je peux. A ta salle. » Les mots énoncés un par un, sans regarder une fois Ye Jun parce qu’il sait pertinemment que ce dernier voudra lui casser la gueule s’il ose avoir un eye contact avec lui. « En plus, je suis venu il n’y a pas si longtemps. » Cela veut dire deux semaines. Pour Théodule c’est court comme période. Il ouvre la bouche, la referme, jette un regard en biais à Ye Jun et d’un mouvement de cul, il se déporte légèrement sur le côté, mettant de la distance entre eux. Légèrement.
« A part ça, tu n’as rien à me raconter ? » Hormis, me forcer à venir dans ta salle, est dit de façon sous-entendue, mais c’est présent. Il pousse les friandises vers son ami, ne touchant pas ces trucs-là, même pas d’un millimètre. « Tu veux pas faire d’escrime ? » Autant renvoyer l’ascenseur, peut-être qu’il dira oui ce démon.
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« Quand tu peux n’est pas suffisant. C’est ouvert h24, tu peux même venir la nuit pour n’avoir personne. Tu as trop peur de te prendre une déculottée ? ». Il n’est aucunement étonné, vu le tempérament renfrogné de son voisin, la victimisation comme tremplin dans cette vie singulière. Une légère moue prend place sur les lèvres du jeune homme, l’espièglerie diabolique. « Tu penses que venir deux fois par mois peut suffire ? Tu es un sportif, tu as assez d’endurance pour endurer les entrainements quotidiens. Et même pas pour venir me voir, ingrat. ». Cela l’amuse, sachant qu’ils se voient en dehors de leur activité professionnelle. Comme maintenant, s’amusant sur un jeu vidéo et grignoter des friandises dont il finira par se gaver entièrement.
« L’escrime à son divertissement, mais pas assez nerveux ou au besoin d’adrénaline comme j’ai besoin. Tu vois ce que je veux dire. Ça te va mieux qu’à moi. Je peux passer, mais tu verras tout de suite les résultats. ». Pour ces opposés sur lesquels rien ne les relie. Et pourtant, toujours ensemble. « Tu veux que je te raconte mes dernières péripéties ? Celles avec mes parents me chantant encore et encore de mon erreur et pourquoi je ne leur donne aucunes nouvelles ? ». Le ton est bien plus agressif, l’ennui palpable lorsque sa langue claque contre son palet en signe de contrariété.
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Le pincement de lèvre, significatif de beaucoup de choses, avec un fessier qui remue proche d’un malaise présent pour son petit corps mis à rude épreuve par son meilleur ami ici présent. « Une déculottée non, une dérouillée oui. Espèce de brute. » Il plaisante à moitié sachant que Ye Jun est capable de beaucoup de choses, du pire comme du meilleur et victime dans l’âme, Théodule évite cette source, ce qui veut dire qu’il va accepter toutes les demandes de son cher acolyte.
« Je vais venir, d’accord et plus de deux fois par mois, mais n’en profite pas pour me démonter. Je te fais part de ma présence, te regarder de loin pendant tes heures ça devrait compter n’est-ce pas ? » Ses yeux qui convergent doucement vers le brunet, espérant qu’il accepte sa requête, un peu fourbe et fuyarde, mais qui lui ressemble tellement aussi. Théodule peut observer Ye Jun s’entrainer, il fait acte de présence donc tout est parfait ? Il pince ses lèvres une seconde fois.
« C’est à chier, j’ai capté, pas besoin d’être agressif avec moi, Ye Jun. S’il te plait. » La dernière phrase est demandée après une latence de seconde tandis qu’il fait rouler sa chaise légèrement sur le côté, évitant d’être en ligne de mire de son pote et pousse un bol de bonbec face à lui afin qu’il se goinfre de ça plutôt que de continuer à s’énerver. « Je t’oblige pas à en parler si tu veux pas et tu fais ce que tu veux puisque c’est ta vie, mais tu vas vraiment laisser tes parents sans nouvelles jusqu’à ce qu’ils arrêtent de t’emmerder ? » Une question, juste une question, pas son intention à lui particulièrement d’obliger qui que ce soit à faire quoi que ce soit. Surtout pas Ye Jun.
« Je vais venir, d’accord et plus de deux fois par mois, mais n’en profite pas pour me démonter. Je te fais part de ma présence, te regarder de loin pendant tes heures ça devrait compter n’est-ce pas ? » Ses yeux qui convergent doucement vers le brunet, espérant qu’il accepte sa requête, un peu fourbe et fuyarde, mais qui lui ressemble tellement aussi. Théodule peut observer Ye Jun s’entrainer, il fait acte de présence donc tout est parfait ? Il pince ses lèvres une seconde fois.
« C’est à chier, j’ai capté, pas besoin d’être agressif avec moi, Ye Jun. S’il te plait. » La dernière phrase est demandée après une latence de seconde tandis qu’il fait rouler sa chaise légèrement sur le côté, évitant d’être en ligne de mire de son pote et pousse un bol de bonbec face à lui afin qu’il se goinfre de ça plutôt que de continuer à s’énerver. « Je t’oblige pas à en parler si tu veux pas et tu fais ce que tu veux puisque c’est ta vie, mais tu vas vraiment laisser tes parents sans nouvelles jusqu’à ce qu’ils arrêtent de t’emmerder ? » Une question, juste une question, pas son intention à lui particulièrement d’obliger qui que ce soit à faire quoi que ce soit. Surtout pas Ye Jun.
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« Arrête de chouiner. Tu sais très bien que je te montrerai les bases, comme la corde à sauter ou enfiler des gants. Je ne te demande pas de monter sur le ring, mais de venir. Tu peux me regarder, mais non. Tu participes. ». Sinon, cela serait bien trop simple et évidemment non envisageable pour l’ancien danseur. Ses hanches se déplacent afin d’effectuer un léger coup contre celles de voisin, suffisamment doux pour démontrer que cela n’est qu’une frappe amicale. Aucune souplesse, même pour son meilleur ami. Ye Jun n’a jamais été clément de la charité et ce n’est pas aujourd’hui qu’il va changer, loin de là.
Les sourcils se froncent perceptiblement, signe d’une irritabilité à la suite des mots de son interlocuteur. « Parce que tu penses sérieusement que ça va les arrêter ? Ils n’arrêteront pas tant que je ne redeviendrais pas aussi connu qu’avant. Ils ne s’intéressent pas à moi, mais à mon grade. C’est chiant de devoir expliquer à leurs bourges d’amis que leur fils n’ait plus un chorégraphe de renom de mes couilles. Au moins, les bloquer me permet de ne plus avoir d’appels et de SMS à tout-va. C’est leur putain d’orgueil qui est touché, pas de savoir comment je vais. » Bien qu’il n’ait jamais prêt attention à leurs sentiments, indépendant depuis le plus jeune âge.
Il lâche un soupir nasal, l’exaspération palpable. « Je pense donc de ton intervention à ce sujet n’était pas nécessaire, Theo. Tu es mon meilleur pote, mon frère de cœur, mais je ne changerais pas d’avis. Je te demande de sortir en pleine rue pour m’accompagner, en pleine foule ? De venir à ma salle en heure de pointe ? Je ne joue pas sur les cordes sensibles. ». Pas quand il s’agit de Théodule, en tout cas.