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:: Flood :: RPs abandonnés
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Elusive
in my desire, i shall attain it.
@Love Ye Jun
ootd Le douzième souffle de l'horloge diurne résonne à travers l'éther, là où le firmament se pare d’une majestueuse couronne solaire. le soleil se fait doux amant céleste. Effleure avec une délicatesse divine les murs de l’agence.
Jae won brille par sa créativité – s’immerge depuis quelques jours dans l’élaboration d’un cover musical. Alors il modèle sa voix avec une passion exigeante. Taille chaque note pour atteindre la perfection sonore. Se perd dans les nuances de chaque tonalité, travaillant inlassablement à polir son talent vocal pour qu'il brille de tout son éclat.
[ ... ]
Quittant la salle de danse, où l’écho enjolive son timbre divin, il s'engage dans les couloirs labyrinthiques de l'agence à la recherche d'une nouvelle bouteille d'eau. Au détour d’un corridor, une collision.
L’ange émerveille pourtant ses commissures – et se prend à se questionner sur la sincérité de ce sourire. Ses orbes deviennent constellation. Se fixent sur le visage de cet homme. Là, il espère trouver un moyen de briser les barrières qui protègent son âme, un moyen de charmer, de séduire, de devenir son tout.
Et dans son myocarde, le désordre règne. Désir de captiver, précurseur de son inconstance.
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Emploi/études : Gérant d'un club de boxe || ancien chorégraphe de renom, donne des cours occasionnels
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Love Ye Jun Blueberry
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Elusive
song || outfit
with: @Yoon Jae Won
Le diablotin se pare de son plus bel apparat, arborant la fissure d’un sourire charnier. La tension dans l’air, sous un équilibre délicat, partager entre la retenue et l’attention appliquée. La pièce tombe dans un silence cryptique, rompu seulement par les souffles s’écrasant l’un envers l’autre dans cet espace trop étranglé. Les rétines de l’ange déchu se sont légèrement rétrécies, comme s’ils étudiaient chacun des mouvements de son interlocuteur. Les griffes du démon se redressent dans un geste délicat, frôlant le pouls qu’il sent du bout de la pulpe. Effleurant, s’apposant doucereusement, comme un sillon tragique sur une peau à découvert. Et lentement, les griffes se referment sur la mâchoire, prisonnier. Le boxeur penche la caboche, en soufflant du bout des lèvres. « Effectivement. Mais les portes me sont toujours ouvertes. Pour des questions, des demandes, de la privatisation. ».
Et l’humain reste encré à l’autre, désireux dans son ambiguïté émotionnelle. Ou peut-être cherche-t-il une complaisance dans ses agissements. Il vient tâtonner, de l’index et du majeur, en laissant les autres suivre, dans une danse intimiste, se faire sentir auprès de sa compagnie retrouvée. La tignasse qui se penche sur le côté, le même bourgeon de l’espièglerie luciférienne dont le tranchant de la verbe est aussi impudique que son corps en mouvement. « Pour combler les manques et les besoins, apparemment. C’est toujours bien d’obtenir ce qu’on n’arrive pas à avoir, n’est-ce pas ? ». Syllabes d’un pernicieux, transformant cette simplicité en quelque chose de mystique, dans lequel on aimerait tomber vers un endroit dont on ne revient pas indemne. « Et toi, comment tu t’en sors aujourd'hui ? ». Vile promesse de croire qu’il représente ce sentiment que chacun recherche jusqu’à la déraison.
Ses phalanges s’écartent, libèrent l’oisillon angélique dans laquelle il était piégé. Imposant un semblant de distance pour une raison qui ne s’explique pas. La démangeaison de retrouver ce picotement d’un peu plus près, comme avant et différemment. Ses lippes miment un « vient », sans l’expulser pleinement. Les pas se dérobent sous les pupilles qui le scrutent comme un loup, attendant de pouvoir déposer ses crocs contre la nuque avec une satisfaction mortuaire. Il accentue son mouvement par un geste de la tête, succinct. Désignant la salle de danse non loin de ces silhouettes marquées. L’intime réclamation silencieuse du désir presque étouffant de constater les changements. Les actes sont bien plus impactants que les mots.