:: Flood :: RPs abandonnés
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Emploi/études : bosse dans un escape game ♡ traductrice occasionnelle
Lieu d'habitation : Appartement à Namdonggu
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Pseudo : b.yoshi
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Amor Mikaela Orenji
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ft. @Im Ji Hoon
Ah.
« Y’a quelqu’uuuuuuuuuuuuuuuuun ? Noooooooooon ? » . Apparemment, on l’a laissé en plan. Ou elle s’est aventurée trop loin. En vérité, elle ne sait plus véritablement. Tant pis. Elle continue son ascension dans cet endroit, souhaitant ressentir d’autres frissons dans cet événement particulier. Et puis, cela reste l’occasion de découvrir des activités coréennes. Qui sait, peut-être que les clichés des dramas feront leurs effets. Dans ses pensées, elle ralentit soudainement le pas, ses beaux venant se plisser d’un air suspicieux. Quelque chose semble se mouvoir dans l’obscurité, laissant quelques doutes dans le cerveau cassé de la jeune femme. Méchant issu de l’asile ou personne tout aussi perdue qu’elle ne parait l’être ?
Vu le bruit, cela semble être la première option. Et sous la lumière, un homme avec une tronçonneuse se dévoile et court en sa direction. Travaillant dans un escape game, cela ne l’effraie pas et pour cause, elle a déjà dû jouer des rôles semblables ! Parfaite actrice, le hurlement et les jambes se défilent comme une série hollywoodienne. Elle pense encore qu’elle s’est trompée de voie, sans nul doute. Perdue dans le fait d’être aussi incroyable, elle ne perçoit, ni ne ressent le choc frontal avec un autre humain. Mais celle-ci se remet bien vite et pose sa paume contre les lèvres de la personne en face, la poussant pour se cacher dans un petit espace. Posant son doigt contre ses lèvres, elle mime le silence. « Chut, je suis trop belle pour me faire tronçonner. » . Le rire hystérique non loin d’eux résonne à travers le silence du lieu.
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@Amor Mikaela
La pénombre l’enveloppe, épaisse comme la fumée d'une clope dans un bar mal aéré.
Le myocarde qui s’enflamme. Terreur sourde criant son effroi dans sa poitrine.
Il s’est fourré dans ce foutoir sans trop savoir pourquoi, juste pour le frisson, histoire de pimenter un peu sa vie. Mais là, au milieu des cris d'effroi perçants, il commence sérieusement à se demander s'il n’a pas juste câblé.
Un instant, il s'immobilise. Sent la folie l'encercler. Ces hurlements déchirants sont suffisants pour glacer le sang même du plus intrépide des hommes. Excuse dérisoire pour conserver ses derniers millilitres de dignité.
Un corps le percute comme une gifle glacée, faisant naître un frisson dans chaque fibre de son être. Avant même qu'il puisse prononcer un mot, il est éjecté du centre de l'attention, propulsé hors de la scène par une force inconnue. Dans l'obscurité, il peine à distinguer les traits de cette silhouette.
Faible lueur, mélange d'angoisse et d’irritation. Elle est humaine, en ressent la chaleur de son index sur ses lèvres et de cette voix qui tape dans son crâne. « Tu joues à quoi, princesse ? » siffle-t-il, sa voix chargée d'une exaspération palpable. « Connecte tes deux neurones et recule de cinq mètres, sinon t'auras pas besoin de tronçonneuse pour finir en morceaux. »
Le temps s'étire lentement dans cette obscurité suffocante, puis surviennent les détails du visage familier de la douce. Surprise au fond des orbes, et le torrent d’agacement qui suit le même chemin.
Comme si le cruel moulin des souvenirs avait choisi de rejouer leur dernière rencontre, insufflant à son esprit une amertume acerbe. Les ombres du passé se sont engouffrées dans son cœur, le laissant désabusé et tourmenté par ce rappel brutal, comme une piqûre de sel dans une plaie à vif.
« … Toi, » sa simple présence le heurte, comme un grincement incessant dans l'oreille, une intrusion insupportable qui éveille en lui un agacement profond et constant. « T’as le don de foutre le bordel là où tu t’trouves, hein ? » par chance, sa beauté agit comme un baume sur cette irritation grandissante.
Apaise l'orage de son âme avec une douceur troublante.
Et l'envie sourde de la voir succomber sous le rugissement métallique de la tronçonneuse qui persiste toujours.
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ft. @Im Ji Hoon
Les rétines accrochent les billes qui vilipendent, n’accordant que peu d’importance à la langue, persiflant les mensonges comme les diables qui s’en adonnent auprès des plus innocents. Les lippes s’étirent comme celle d’une rose dont les épines perforent la peau, malgré sa fragrance la plus délicate, sous la langue qui claque distinctement dans cette pénombre orchestrée. « Je joue le jeu, trésor. Pas ma faute si on m’aime bien. ». Saupoudré d’un baiser de la paume en guise de réponse adéquate. « Je suis sûr que je t’ai manqué. Mais tu vas me dire le contraire, blabla. ». Elle soulève sa main d'un air évasif, les yeux roulant vers le plafond. Elle et ses péripéties, ses actions menant les plus adroits à vaciller vers les falaises les plus hautes, procurant la plus exquise des sensations. Côtoyer l’étrangère est synonyme d’exaltation. Le résultat n’en demeure pas moins différent selon les tempéraments.
Observant les alentours, sa tignasse blonde parcourt la pièce, avant de la pencher suffisamment afin d’observer où se trouve l’acteur compétent. « La pièce contient deux entrées. On bloque une porte, on l’attire et on sort par l’autre côté en verrouillant. Comme ça, on peut finir tranquillement. Sauf si tu as envie d’un peu d’adrénaline à te faire poursuivre, comme tu veux. ». Les épaules se soulèvent d’un geste désabusé. Les options qui se présentent n’auront pour conséquences qu’un esprit enchanté, à la forte probabilité qu’un événement ne survienne pour accabler les protagonistes de cet endroit. Elle tapote l’arrière de son compagnon de route, comme on le ferait à un enfant. « Allez mon grand, on se positionne. Je n’ai pas ton temps. ».
Et les aiguilles tournent sous le fracas d’un objet métallique grondant contre les murs. Néanmoins, un petit objet se trouve non loin d’eux. Une poupée. « Hum. Pas prévu au programme ça. On la garde ou on la laisse ? ». Elle possède une sensation étrange au fond de son être. Comme si le choix importera sur la suite de leurs actions. Que cela ne tienne qu’à eux, sous les possibilités qui s’offrent et le faible rire de la marionnette qui désire rester auprès d’eux.
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@Amor Mikaela
Ombre indésirable.
L’ignorance pour réponse.
Taire la colère qui gronde en lui.
Il se sent pressé par la nécessité impérieuse de trouver un moyen de s'échapper, avant que l'angoisse ne resserre ses griffes sur son âme. Le gars à la tronçonneuse, il le fait suer un peu, mais pas autant que l'idée d'un spectre qui rôde. Rien que d'y penser, ça lui fait des sueurs froides, comme un courant glacial qui lui parcourt l'échine, une terreur viscérale qui lui serre les tripes. Façade stoïque sculptée dans la pierre de sa volonté, même si le moindre bruit semble marteler son calme intérieur.
Il ignore avec hauteur l'insolence de la jeune femme. Se jure de graver sur l’ardoise de sa mémoire le mot respect dans le calme de l’après-jeu.
Finalement, il musse sa réjouissance de voir enfin un semblant d’intelligence émerger. Ses muscles s'animent avec une grâce féline alors qu'il tire un meuble d'un geste puissant, faisant glisser le bois sur le sol avec une précision calculée. Le grincement, harmonieux malgré son aspect sinistre, coupe l'obscurité de la pièce comme une lame affûtée, créant une cadence rythmée dans le silence pesant.
Il pose son regard sur la poupée gisant sur le sol crasseux. Une créature à moitié crevée, un spectre de plastique sali par les années et les aventures. C'est le genre de truc qui a probablement hanté les cauchemars des enfants dans le coin depuis des générations, une relique du passé qu'on préfère oublier, mais qui persiste dans sa laideur désuète. Il s'empare de cette chose, l'agitant devant Mikaela avec un sourire moqueur. « Clairement similaire » lance-t-il d’une voix teintée d’arrogance. C’est soudain, quand la poupée prend vie « il arrive, il arrive… » murmure spectral répétitif, siffle comme le vent glacé à travers les branches d'un arbre mort. Et la peur primitive qui le glace jusqu'aux os. La poupée embrasse vulgairement le sol sous un juron de sa part. Son avertissement résonne encore dans l’air, et s’exécute sous l’arrivée de cet homme muni d’une tronçonneuse… par l’unique porte de sortie. La réflexion, c'est pas pour lui. Alors, par un réflexe incontrôlé, Ji Hoon agrippe le bras de la jeune femme avec une intensité inattendue, comme si la réalité s'était soudainement distordue dans ses doigts, mélangeant la peur et la surprise dans une étreinte involontairement robuste. « T’as pas intérêt à t’barrer en me laissant ta merde. T’as quelques secondes pour trouver une solution avant que j’te balance à ce mec. » Un grain menaçant infiltre sa voix, transformant chaque mot en une promesse sombre, un avertissement implicite que même l'obscurité ne peut étouffer.
La tronçonneuse s'ébroue. Vibre d'une énergie bestiale. Rugissement qui remplit l'air de menace et de terreur.
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ft. @Im Ji Hoon
Les rétines s’affaissent vers les phalanges venues accrocher le tissu de son vêtement et l’encéphale s’écrase par l’acte, inondant ses pensées de mignonnerie sous les mots crachés. Déposant un baiser contre sa propre paume, elle l’envole vers son interlocuteur, la carcasse ne semblant prendre en compte le bruit qui fracture l’air sous son tronçon déchirant. « Ne t’inquiète pas, bébé. Laisse la dame gérer. Je vais nous sortir de là. ». Elle octroie un clin d’œil rieur, s’évaporant des doigts qui la retenaient dans cette prison hantée. L’échange se fait momentané, mais assez fugace pour laisser entreprendre toute la spontanéité de l’étrangère, qui se précipite vers son bourreau. Sous une agilité surprenante à se jeter dans ses bras, profitant de la comédie suffisante à ce qu’elle ne soit aucunement touchée. Heureusement, son comparse comprend les rouages et son escapade hors de la pièce se fait à quelques grandes enjambées. La franco-espagnole offre un baiser à l’homme et déguerpit aussitôt, fermant la porte dans un fracas assourdissant et la verrouillant. « Couuuuuuuuuuuuurs ! ».
Hurlement strident, lorsque la main accroche l’autre, sous les pas qui se dispersent à vive allure. S’époumonant en traversant les allées, flageolant les pieds malmenés depuis le début de soirée, mais sous un rire palpable et féminin. L’œil aperçoit une embouchure et bouscule, sans ménagement, l’amas vers la noirceur qui s’offre à eux. En l’écrasant de son poids, certes léger. Au-dessus de lui, elle mime un massage cardiaque. « Ce n’est pas le moment de me lâcher, ma peluche. Tu es beau, mais je ne peux pas trainer ton corps toute seule. ». Alors qu’elle sait qu’il est bien réveillé, lâchant un nouveau rire lorsqu’elle se fait expulser avec négligence. Guettant les recoins, elle tend l’oreille. Silence presque trop pesant, bien qu’une petite poupée se glisse dans un recoin.
Comme celle de la pièce abandonnée. Elle se retourne vers son acolyte, les mains contre ses lèvres. « Tu étais trop mignon, je comprends pourquoi tu fais craquer les gens. Genre, c’était discret, mais là. TROP CHOU. ». Elle secoue la tête blonde avec un air ravie, se décalant suffisamment pour ne recevoir aucune frappe ou remarque à ce propos. Coupant cet élan, elle vient devant le jeune homme, très près. Doucement, elle pose ses mains sur ses épaules et se redressent sur la pointe des pieds. « Ne nie pas, doudou, je vais te protéger. ». Et revient à sa position initiale : celui de guet. « Il y a des escaliers là-bas, mais je suis quasi certaine qu’il passera par là, pensant qu’on va descendre. Il y a d'autres portes. Soit on revient sur nos pas, une chance sur deux pour le trouver. Ou on essaie de contourner. ». Peut-être.