:: Flood :: RPs abandonnés
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Ft.@ko jian
Ça fait plusieurs jours que tu n’as pas vu la lumière du soleil. Cloîtré dans ta chambre étudiante pour bosser en vue des prochains examens, tu as l’impression que tu n’es pas sorti en ville depuis une petite éternité. Tu as alors cette impression de redécouvrir la capitale, ses trottoirs et ses magasins, comme si tu n’y étais pas allé depuis dix ans alors que tu ne l’as clairement jamais quitté. Encore une fois, tu exagères complètement, et c’est avec presque une petite fierté que tu fais l’étonné à chaque nouvelle affiche sur lesquelles tes mirettes se posent.
Sur ta route, tu en profites pour sortir ton téléphone, histoire de prendre quelques photos et de les poster en story instagram. Tout de suite, on réagit à ces dernières et tu prends le temps de répondre à quelques messages bienveillants qui traînent ici et là dans tes demandes. Tu choisis au hasard, et tu pianotes sur ton clavier des mots gentils pour ces inconnus qui t’apprécient à travers leurs écrans. Tu ranges ensuite ton cellulaire pour continuer ta route jusqu’au centre commercial, endroit où tu as donné rendez-vous à Jian.
Tu as rencontré l'idole lors d’un événement autour d’un nouveau téléphone portable, et le courant est plutôt bien passé entre vous. Lui est plutôt discret, réservé et assez silencieux, tout ton contraire. Pourtant, il dégage un potentiel monstrueux, et tu es certain que ce dernier n’en est même pas au courant. Tu espères qu’un jour, il le remarquera et en profitera totalement. Le jour où ça arrivera, tu espères sincèrement que tu auras ta place en gradins VIP avec tout le pack qui va avec.
[...]
Tu te poses devant le premier magasin de vêtements, à l’entrée du centre, puis tu envoies un petit message à ton ami pour lui signaler que tu es bien arrivé.
Finalement, tu n’as que peu d’avance car tu es vite rejoint par le jeune idole, que tu salues chaleureusement en agitant ta main comme si tu cherchais à t’envoler.
- Jian !!! Comment ça va ? La forme ? Tu as déjà mangé ou faut-il qu'on aille t’acheter un petit bout quelque part ?
Sans lui laisser le temps de répondre, tu l’embarques en le tirant gentiment par la manche.
- J’ai pas grand chose à acheter alors je ne vais pas te traîner dans tous les magasins de Séoul. Ceci-dit, il faut que je trouve une nouvelle paire de chaussures… Les miennes ont rendu l’âme il y a deux semaines. Il y a un énorme trou à l’avant.
Ça fait plusieurs jours que tu n’as pas vu la lumière du soleil. Cloîtré dans ta chambre étudiante pour bosser en vue des prochains examens, tu as l’impression que tu n’es pas sorti en ville depuis une petite éternité. Tu as alors cette impression de redécouvrir la capitale, ses trottoirs et ses magasins, comme si tu n’y étais pas allé depuis dix ans alors que tu ne l’as clairement jamais quitté. Encore une fois, tu exagères complètement, et c’est avec presque une petite fierté que tu fais l’étonné à chaque nouvelle affiche sur lesquelles tes mirettes se posent.
Sur ta route, tu en profites pour sortir ton téléphone, histoire de prendre quelques photos et de les poster en story instagram. Tout de suite, on réagit à ces dernières et tu prends le temps de répondre à quelques messages bienveillants qui traînent ici et là dans tes demandes. Tu choisis au hasard, et tu pianotes sur ton clavier des mots gentils pour ces inconnus qui t’apprécient à travers leurs écrans. Tu ranges ensuite ton cellulaire pour continuer ta route jusqu’au centre commercial, endroit où tu as donné rendez-vous à Jian.
Tu as rencontré l'idole lors d’un événement autour d’un nouveau téléphone portable, et le courant est plutôt bien passé entre vous. Lui est plutôt discret, réservé et assez silencieux, tout ton contraire. Pourtant, il dégage un potentiel monstrueux, et tu es certain que ce dernier n’en est même pas au courant. Tu espères qu’un jour, il le remarquera et en profitera totalement. Le jour où ça arrivera, tu espères sincèrement que tu auras ta place en gradins VIP avec tout le pack qui va avec.
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Tu te poses devant le premier magasin de vêtements, à l’entrée du centre, puis tu envoies un petit message à ton ami pour lui signaler que tu es bien arrivé.
Finalement, tu n’as que peu d’avance car tu es vite rejoint par le jeune idole, que tu salues chaleureusement en agitant ta main comme si tu cherchais à t’envoler.
- Jian !!! Comment ça va ? La forme ? Tu as déjà mangé ou faut-il qu'on aille t’acheter un petit bout quelque part ?
Sans lui laisser le temps de répondre, tu l’embarques en le tirant gentiment par la manche.
- J’ai pas grand chose à acheter alors je ne vais pas te traîner dans tous les magasins de Séoul. Ceci-dit, il faut que je trouve une nouvelle paire de chaussures… Les miennes ont rendu l’âme il y a deux semaines. Il y a un énorme trou à l’avant.
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Messages : 321
Wons : 1110
Age : 22
Emploi/études : idole :: main dancer de Zødiac
Lieu d'habitation : dortoir ; namdonggu (SC Ent)
Icônes :
Citation : — forever writing a story in my head —
Aes :
Pseudo : chonchon
Pronoms : she/her
Avatar : lee heeseung (enhypen)
DC : Cho Mi Rae (IU) ; Byun Chae Rin (Rosé) ; Zhou Li Na (ningning)
Ko Jian Jadu
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Ft.@choi yun seo
Le regard perdu, tu observais le paysage sans réellement le contempler, ne retenant que quelques explosions de couleurs, avant que les pupilles ne soient distraites par ton téléphone, les jambes arrêtant leur mouvement. Les lèvres serrées, tu retins un souffle, les doigts traçant des mots pour finalement les effacer. Ta mère ne pouvait finalement plus venir te voir le week-end prochain – quelque chose avec une visite chez ses beaux-parents. Tu avais lu mais pas tout retenu. Seul le refus resta gravé et tu ne savais comment répondre sans avoir l'air trop déçu. Et tu ne pouvais pas lui dire non plus que tu voulais simplement la voir, passer du temps avec elle comme un autre fils le faisait quelque part à sa mère. Tes parents n'acceptaient pas ce genre de confessions. Pas de toi, du moins, la tendresse arrivant avec l'âge et la maturité. Comme si exposer ce que l'on ressentait était une faiblesse – c'était ce que tu en avais conclu, après toutes ces années, car jamais on ne t'avait laissé articuler ce qui tambourinait dans ton palpitant. Jamais on ne t'avait donné la chance d'exprimer cette émotion qui brillant dans ton regard.
Les doigts vinrent alors enfoncer un peu plus la casquette sur ton crâne avant de venir pincer l'arête de ton nez. L'ivoire vint mordre ta lèvre alors que tes pupilles retournaient sur l'écran. Tu ne pouvais pas la laisser sans réponse trop longtemps – et tu vins alors guider tes doigts sur l'appareil, les bruits autour ne devenant qu'un bourdonnement sourd. Tu repris ta marche, les épaules plus basses qu'à ton départ, occupant tes prunelles dans une recherche précise, le téléphone glissant dans ta poche. Et tu ne mis pas longtemps à trouver qui tu cherchais. « Bonjour Yun Seo », que tu articulas, n'ayant pas le temps de prononcer le reste, les questions te tombant dessus. Et tu restais là, muet, clignant simplement des paupières. « Une paire de chaussures alors », et tu observas bêtement ses pieds, le regard remontant rapidement. « Je vais bien sinon, oui. Et toi ? Tu as l'air en forme en tout cas », tu ris discrètement, le nez faiblement froncé. « J'ai déjà mangé t'en fais pas. Et toi ? », t'avais l'impression d'être un perroquet. Tu suivis sagement, les pupilles captant rapidement la vitrine avant que tu n'entres. « Tu as un style préféré pour les chaussures ? », que tu l'interrogeas, curieux, l'attention vers lui. « Je pourrais peut-être me prendre une paire aussi. Celles que j'utilise pour les entraînements commencent aussi à se casser », pas au point d'en avoir un trou mais... autant changer avant que ça n'arrive. « Qu'est-ce que tu me racontes de beau sinon ? Les cours se passent bien ? »
Le regard perdu, tu observais le paysage sans réellement le contempler, ne retenant que quelques explosions de couleurs, avant que les pupilles ne soient distraites par ton téléphone, les jambes arrêtant leur mouvement. Les lèvres serrées, tu retins un souffle, les doigts traçant des mots pour finalement les effacer. Ta mère ne pouvait finalement plus venir te voir le week-end prochain – quelque chose avec une visite chez ses beaux-parents. Tu avais lu mais pas tout retenu. Seul le refus resta gravé et tu ne savais comment répondre sans avoir l'air trop déçu. Et tu ne pouvais pas lui dire non plus que tu voulais simplement la voir, passer du temps avec elle comme un autre fils le faisait quelque part à sa mère. Tes parents n'acceptaient pas ce genre de confessions. Pas de toi, du moins, la tendresse arrivant avec l'âge et la maturité. Comme si exposer ce que l'on ressentait était une faiblesse – c'était ce que tu en avais conclu, après toutes ces années, car jamais on ne t'avait laissé articuler ce qui tambourinait dans ton palpitant. Jamais on ne t'avait donné la chance d'exprimer cette émotion qui brillant dans ton regard.
Les doigts vinrent alors enfoncer un peu plus la casquette sur ton crâne avant de venir pincer l'arête de ton nez. L'ivoire vint mordre ta lèvre alors que tes pupilles retournaient sur l'écran. Tu ne pouvais pas la laisser sans réponse trop longtemps – et tu vins alors guider tes doigts sur l'appareil, les bruits autour ne devenant qu'un bourdonnement sourd. Tu repris ta marche, les épaules plus basses qu'à ton départ, occupant tes prunelles dans une recherche précise, le téléphone glissant dans ta poche. Et tu ne mis pas longtemps à trouver qui tu cherchais. « Bonjour Yun Seo », que tu articulas, n'ayant pas le temps de prononcer le reste, les questions te tombant dessus. Et tu restais là, muet, clignant simplement des paupières. « Une paire de chaussures alors », et tu observas bêtement ses pieds, le regard remontant rapidement. « Je vais bien sinon, oui. Et toi ? Tu as l'air en forme en tout cas », tu ris discrètement, le nez faiblement froncé. « J'ai déjà mangé t'en fais pas. Et toi ? », t'avais l'impression d'être un perroquet. Tu suivis sagement, les pupilles captant rapidement la vitrine avant que tu n'entres. « Tu as un style préféré pour les chaussures ? », que tu l'interrogeas, curieux, l'attention vers lui. « Je pourrais peut-être me prendre une paire aussi. Celles que j'utilise pour les entraînements commencent aussi à se casser », pas au point d'en avoir un trou mais... autant changer avant que ça n'arrive. « Qu'est-ce que tu me racontes de beau sinon ? Les cours se passent bien ? »