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N.E.W.S 
:: Flood :: RPs abandonnés
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la fausseté de l'aura solaire se lit dans les creux du visage, à peine métamorphosée qu'on en voit déjà les maigres failles. les regards jetés se font trop doux, d'une lenteur calculée, presque chancelants tant la vraie cruauté se cache dans une âme déjà trop corrompue. nova n'est que le cygne noir se déguisant en blanc, se repentant silencieusement des réussites qu'elle n'a pas, de ses pieds bleutés, de cette haine qui se nourrit pour s'abîmer les os et tordre son corps au rythme des mélodies. pourtant, tout tente de rappeler à la gamine qu'elle n'est pas de ces étoiles dont les noms se font crier malgré toute la force qu'elle plonge dans sa quête à l'acharnement. alors elle se fait carnassière.
tu dois être la meilleure.
jusqu'à en crever.
tu dois voir ton nom en haut.
elle se maudit nova, à s'épuiser toutes les heures de ce qu'elle n'est pas ou de ce qu'elle ne deviendra pas si l'échec l'effleure. jamais les fêlures ne se font réellement apparentes, à moins que l'on sache décortiquer les êtres. elle s'écaille peut-être, sans doute, mais la môme ne lâchera pas, non, pas avant d'avoir réussi là où on la voit échouer. cylindre de nicotine pendu aux bords de ses lèvres abîmées, se laissant se consumer jusqu’à ce que mort s’en suive. ce soir ce n’est pas sur le parquet ciré qu’elle espère briller, ce n’est pas de grâce qu’elle compte charmer les serpents tout aussi venimeux qu’elle ne l’est. « bonsoir, je cherche un certain love yegun. » nom écorché à l’attention des jeunes combattants quand le mégot tombe à ses pieds pour venir l’écraser avant de traverser la porte grande ouverte. « j’ai entendu dire qu’il bossait ici. » l'âme suinte avec ces quelques mots nonchalants balancés, trop rouges, presque carmin, déteignant sous chacun de ses pas alors que les rétines se font baladeuses d’un monde dont elle ignore pourtant tout. « j’bougerais pas d’ici tant que je ne l’aurais pas vu. » son sac de sport jeté à ses propres pieds telle une ancre à ce navire qui lui sert de corps. et voilà que le cygne s’est échappé de sa cage pour se perdre dans celle des loups, implorant presque à ce qu’on lui apprenne à mordre à son tour.
tu dois être la meilleure.
jusqu'à en crever.
tu dois voir ton nom en haut.
elle se maudit nova, à s'épuiser toutes les heures de ce qu'elle n'est pas ou de ce qu'elle ne deviendra pas si l'échec l'effleure. jamais les fêlures ne se font réellement apparentes, à moins que l'on sache décortiquer les êtres. elle s'écaille peut-être, sans doute, mais la môme ne lâchera pas, non, pas avant d'avoir réussi là où on la voit échouer. cylindre de nicotine pendu aux bords de ses lèvres abîmées, se laissant se consumer jusqu’à ce que mort s’en suive. ce soir ce n’est pas sur le parquet ciré qu’elle espère briller, ce n’est pas de grâce qu’elle compte charmer les serpents tout aussi venimeux qu’elle ne l’est. « bonsoir, je cherche un certain love yegun. » nom écorché à l’attention des jeunes combattants quand le mégot tombe à ses pieds pour venir l’écraser avant de traverser la porte grande ouverte. « j’ai entendu dire qu’il bossait ici. » l'âme suinte avec ces quelques mots nonchalants balancés, trop rouges, presque carmin, déteignant sous chacun de ses pas alors que les rétines se font baladeuses d’un monde dont elle ignore pourtant tout. « j’bougerais pas d’ici tant que je ne l’aurais pas vu. » son sac de sport jeté à ses propres pieds telle une ancre à ce navire qui lui sert de corps. et voilà que le cygne s’est échappé de sa cage pour se perdre dans celle des loups, implorant presque à ce qu’on lui apprenne à mordre à son tour.
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Wons : 2604
Age : 25
Emploi/études : Gérant d'un club de boxe || ancien chorégraphe de renom, donne des cours occasionnels
Lieu d'habitation : Appartement à Bukseogu
Icônes : 
Citation : [ A reflection of a crimson key ]
Aes :
Pseudo : b.yoshi
Pronoms : Il (perso) // Elle (IRL)
Avatar : Lee Know - SKZ
DC : mika // llewelyn // eros // asmodée // woojin // leon
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« Il suffit déjà de bien parler. ». La langue passe sur les lippes inférieures, les crocs en dehors et les rétines fixées sur l’oisillon qui essaie de piailler plus fort qu’il ne l’est. Les muscles roulent sous ses mouvements, les semelles battant lorsqu’il entre dans ses propres lieux. L’esprit ailleurs depuis des semaines et des mois, il vient planter son arrogance devant la jeune femme, la tête légèrement penchée sur le côté. Les pupilles venant détailler l’insolence d’un loup dévoreur, scrutant les réactions, le rictus en coin s’apposant devant la grâce qui désire se faire avaler. « Si c’est pour une danse collée-serrée, ce n’est pas par ici. ».
Dans une boite ou sur le ring, le résultat sera assurément le même. Le menton désigne le front à quelques mètres, loin des silhouettes qui s’éloignent d’un air vif, la suffisance, couplé à l’animosité dégagée, suffit à faire comprendre que le maitre des lieux ne sera aucunement tolérant. Délaissant le chiot des rues, il contourne avec nonchalance et avance vers les casiers. L’œil est méticuleux, vérifiant chaque placement, chaque objet couteux présent ici et là. Salut d’un signe de la caboche les réguliers et jette une œillade discrète vers les nouveaux, à la recherche d’une certaine brunette et souffle du nez sans la voir. Il entend des bruissements, un brouhaha vertigineux et se retourne vers l’oubliée. « Les vestiaires sont à côtés, l’échauffement sera dans la salle à droite. ».
Encore une impertinence pensant qu’elle pourra atteindre un salut, en sortir les démons dissimulés en son sein, sans savoir qu’en face se tient un canidé rageur, insatiable envers les plus ardents. Il ordonne, lui prêtera l’attention, s’en foutre des raisons. Chacun possède les siennes et chacun chute à sa manière. Et apparemment, celle-ci pense pouvoir mordre de la même manière, pensant encaisser la brûlure de celle-ci. Que ses désirs deviennent ses pires cauchemars. Les bras croisés lorsqu’elle revient sans s’être changé lui-même et observer avec un sourire carnassier. « On commence. ». Et cela n’est que le début du Purgatoire. Ou des Enfers, devant celui à l’humeur féroce.
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nova aurait aimé laisser ses démons dans l'obscurité, ne plus se soucier d'eux dès que la porte se serait refermée sur son passage. pourtant même face à ye jun, ça la ronge, essayant de ne plus y penser, mais elle le sait c'est toujours là. ça attend que tu craques, une nouvelle fois. l'impression de marcher en équilibre sur un fil qui est sur le point de se rompre, mais elle continue à avancer, les yeux fermés. t'iras aussi loin que tu peux. « si j'voulais danser j’aurais exigé un autre partenaire. » le regard descendant le long de la silhouette faisant enfin son apparition sous les rétines onyx. « merci. » sifflé entre les lèvres de poupée au goût vitriol, poison sur la langue qui pourrait bien finir par s’assécher s’il ne se repend pas. vipère trouvant le chemin indiqué pour ôter sa mue putride, revêtant ainsi une tenue plus adéquate au combat avant de reprendre le devant de la scène. cygne ébène battant presque de l’aile pour rejoindre la salle d’entrainement qui lui coutera sans doute quelques plumes. « c'est bon. » sur ses appuis, chevilles ne faisant qu’un avec le sol matelassé, elle ne les sent que trop bien, hématomes venant brûler la chair pour rappeler de leurs présences. acharnement insignifiant, sans résultat. t'es bonne à rien, nova. toujours deuxième sur le podium. et on ne se souvient jamais du deuxième.
« c’est une première fois. » se défend-elle bien vite en raclant sa gorge alors que les ailes viennent se croiser sous la poitrine qui a la plus grande surprise bat encore son le plexus. « mais ne me ménage pas pour autant. » et elle attend, nova. elle attend quelque chose dont elle ignore tout. un shot d’adrénaline, une secousse sismique dans son petit univers. un séisme fulgurant à en briser ce qu’il reste d’elle, à lui donner envie de vivre encore plus fort, de se battre jusqu’au jugement dernier. elle patiente comme on attend un train, fébrile, comme une gamine trop près du bord du quai. prête à te faire faucher par la vie. parce qu'elle veut mourir de vivre, nova, vivre à en crever. et c'est quand l’aphrodite en a marre du sursis, de l'attente insoutenable qui ne savait jamais la tenir en haleine assez longtemps pour vivre enchaînée, qu'elle sort de sa cage. à la recherche de la proie ou de l'assaillant. à la recherche du gibier ou du vautour. « j’suis prête. »
« c’est une première fois. » se défend-elle bien vite en raclant sa gorge alors que les ailes viennent se croiser sous la poitrine qui a la plus grande surprise bat encore son le plexus. « mais ne me ménage pas pour autant. » et elle attend, nova. elle attend quelque chose dont elle ignore tout. un shot d’adrénaline, une secousse sismique dans son petit univers. un séisme fulgurant à en briser ce qu’il reste d’elle, à lui donner envie de vivre encore plus fort, de se battre jusqu’au jugement dernier. elle patiente comme on attend un train, fébrile, comme une gamine trop près du bord du quai. prête à te faire faucher par la vie. parce qu'elle veut mourir de vivre, nova, vivre à en crever. et c'est quand l’aphrodite en a marre du sursis, de l'attente insoutenable qui ne savait jamais la tenir en haleine assez longtemps pour vivre enchaînée, qu'elle sort de sa cage. à la recherche de la proie ou de l'assaillant. à la recherche du gibier ou du vautour. « j’suis prête. »
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Il avait eu une moue sur le visage, loup dangereux ne croyant aucunement à ces mots murmurés pour se convaincre avant de tomber. Les mêmes penseurs qui s’échinent à se boursoufler les muscles, à se déplumer de ce qu’ils ne possèdent pas sous des cassures visibles et l’effervescence qui transcende la logique pour ressentir la déchéance. Désorganisé, frappant le sol dans un amas chaotique pour recevoir les frappes méritées et le propriétaire de la salle, il mord à qui veut bien l’entendre. Comprenant le message subliminal, sous les poings qui s’abattent avec douceur, trop pour être vrai. Pas assez pour être mordant, sous le rictus en coin des babines. Provocation.
Parce que ce qu’elle souhaite, elle doit venir le chercher.
Et il l’oblige, sous les positions dansées, les mouvements lents et les pivotements trop laxistes pour octroyer l’attention démesurée. D’une caresse de la patte au lieu de l’abattre, comme un chat jouant avec sa souris pour l’observer sous la crainte, tournant partout dans l’espoir d’une échappatoire. Encore. Et encore. Il l’enjoint à sortir de ses pensées, anticipant pour répondre et octroyer la frustration. « Alors, Black Swan, je pensais que tu ne voulais pas danser ? ». Puisque, clairement, c’est ce qu’il lui octroie depuis qu’ils ont commencé. S’enraciner sous la fluidité, suivant une rythmique que seuls les plus assidus de cette discipline imposent avec mimétisme. Dirigeant là où il le désire et à l’opposé de ce qu’elle recherche.
La tête se penche sur le côté, ourlée d’un sourire railleur et d’une réactivité à la fois trop sereine et à la fois pas assez féroce. Un entre-deux tendancieux comme un tempo désynchronisé en plein milieu de la chorégraphe et mieux déstabiliser. Mieux fracturer ce qui se tapit au fond d’elle et l’exhorte de la décadence. Il viendra sonner le glas des Enfers lorsqu’il désirera abattre sa faux. Tendre le cou n’est pas suffisant, elle devra ramper pour ce qu’elle chérit, défendre ses derniers remparts avant que tout ne chute lamentablement. Il pousse toujours un peu plus loin et toujours plus près du supplice.