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:: Flood :: RPs abandonnés
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Emploi/études : Graphiste maquettiste + pompier volontaire
Lieu d'habitation : Un appartement à Namseogu
Icônes :
Citation : [ ANGEL EYES ]
Aes :
»--✧--«
Well, I can't help but notice,
You seem happier than ever now,
And I guess that I should tell you I'm sorry
It seems I was the problem somehow
Maybe I only brought you down
Sorry
Well, I can't help but notice,
You seem happier than ever now,
And I guess that I should tell you I'm sorry
It seems I was the problem somehow
Maybe I only brought you down
Sorry
Pseudo : b.yoshi
Pronoms : Il (perso) // Elle (IRL)
Avatar : Bangchan - SKZ
DC : yejun ; mika ; llewelyn ; asmodée ; leon
Song Eros Lemon
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Intervention terminée.
Au-delà des rêveries fantasques, la réalité décrite demeure lointaine, peu appréciable et encore moins rocambolesque. Aux risques minimes et la sociabilité mise en cause pour le bien de tout être. Il ne peut nier sentir son myocarde explorer une parcelle inconnue à chaque fois, de tout ce passif aux ecchymoses et les cachettes pour ne rien laisser paraitre. De ne pouvoir lever le regard comme il le fait désormais, tournés vers le ciel nocturne et l’astre lunaire pour seule compagnie. Un tant soit peu tragique comme existence, mais le mensonge s’enracine et la douleur l’anime, enfant qui ne sait comment être aimé sans être boursoufflé. Les entrailles qui se serrent à ces souvenirs, chassant cela en détournant les pupilles éclatées.
« Attendez ! », s’exclame-t-il alors aisément, réduisant l’espace entre cette silhouette et la sienne. Les sourcils se froncent, observant ce qu’il se passe sous ses yeux. « Est-ce… je peux vous aider ? ». La voix se fait doucereuse et le sourire aussi beau qu’une plume qui se dépose sur la peau, si légère et fragile à la fois. Elle parait être dans une situation laborieuse, tendant le bras pour soutenir le corps qui rechute, qui ne sait sensiblement pas comment agir. « Vous pouvez vous accrocher à moi. ». La paume frôle sans apposer sa marque, ne désirant esquinter la peau par la sienne noircie, trop encrassé pour souiller les plus beaux.
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les pieds sont abîmés, rougis par les efforts, bleutés d'échecs, sont devenus des poids à soutenir lorsqu'ils étaient avant, la pièce du chef d’œuvre, les instruments d'une victoire certaine. ils sont un fardeau, ce soir. ils brûlent des pas qu'ils n'ont pas effectué depuis un temps, se contractent de ces mouvements qui ne sont pas encore oubliés, de la grandeur promise qui se tarde à arriver. puis le corps se fait lourd en claquant contre le parquet, une fois, deux fois, si ce n’est plus. réduisant encore un peu plus son espoir de pouvoir retrouver le devant de la scène un jour ou l’autre. nova n’est plus le cygne majestueux qu’elle a pu être, cygne blanc aux allures de canard boiteux. « fais chier. » soufflé dans l’immense pièce vide. les prunelles scrutant les nouveaux dégâts faisant de sa peau de porcelaine une simple toile peinte à l’aquarelle. hématome béant s’imposant en maître sur la cuisse, cheville au bord de la fracture. « t'es qu'une merde, nova. » t’es qu’une incapable, nova.
pas foulant avec difficulté le macadam,
elle a abandonné nova.
du moins pour ce soir.
fantôme errant dans les ruelles sans vraiment savoir comment elle va réussir à traîner sa carcasse jusqu’à chez elle. jusqu'à ce que sonne enfin une possibilité à la fin de son calvaire, voix masculine transcendant la nuit. « ça va aller. » presque grogné alors que le corps se pose contre le goudron, implorantun instant une vie de répit. fugace traîtresse, menteuse, refusant tout ce qu’on peut lui apporter, voilà ce qu'elle fut; voilà ce qu'elle est. même dans cet instant de silence où les battements furieux du myocarde se font entendre, la louve ne chercherait qu'à dévorer sa propre patte, prise dans le piège des blessures à découvert, des failles qui devront être à nouveau être pansées, puis cachées. « je suis juste tombée. ça va passer. » jambe abîmée venant se plier contre son propre corps comme pour dissimuler ce qui ne peut plus être sauvé.
pas foulant avec difficulté le macadam,
elle a abandonné nova.
du moins pour ce soir.
fantôme errant dans les ruelles sans vraiment savoir comment elle va réussir à traîner sa carcasse jusqu’à chez elle. jusqu'à ce que sonne enfin une possibilité à la fin de son calvaire, voix masculine transcendant la nuit. « ça va aller. » presque grogné alors que le corps se pose contre le goudron, implorant