:: Flood :: RPs terminés
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Age : 25
Emploi/études : Gérant d'un club de boxe || ancien chorégraphe de renom, donne des cours occasionnels
Lieu d'habitation : Appartement à Bukseogu
Icônes :
Citation : [ A reflection of a crimson key ]
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DC : mika // llewelyn // eros // asmodée // woojin // leon
Love Ye Jun Blueberry
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Évidemment. D’où le lever de la paume afin de signifier les propos qui n’ont pas lieu d’être. Le plus jeune est d’une docilité aisée, surtout pour les plus royalistes comme le chorégraphe. Les natures opposées permettant à l’un de canaliser son acerbité et sa tendance à la provocation. Il reste devant sa porte ouverte, attendant avec les mains dans les poches son acolyte qui trottine derrière lui. Et une fois passé, ils quittent l’appartement luxueux et bien équipé en surveillance pour retrouver un parking bien silencieux et un vigile qui s’incline bien trop poliment. Le danseur lève une main en guise de salut bref et entre dans sa voiture, démarrant presque aussitôt, les ceintures bouclées. « Vu l’heure, tu seras à la limite, mais on ne me dira rien pour quelques minutes. ». Au vu de l’heure, le trafic sera bien plus calme que tout à l’heure.
Une main tenant le volant avec nonchalance, l’autre se pose contre sa fenêtre, la conduite sans risque et souple. Le silence s’installe au sein de l’habitacle roulant et pourtant, le plus âgé n’est aucunement gêné par celui-ci, la légère musique en fond en couvrant à peine les bruits extérieurs. Il couvre son interlocuteur d’œillade effilé, vérifiant si la fatigue pointe le bout de son nez ou non. « La prochaine fois, on prendra davantage le temps pour le bas. J’ai un baby-foot ou un billard. Pas ultra-sportif, mais tout aussi sympa. ». Cela fait un moment qu’il n’a pas profité d’une soirée aussi sereinement, ni même journée, sans devoir offrir des cours improvisés, des conflits entre cousins ou du travail à son club de boxe. Il lâche un soupir nasal, apparemment plus éreinté par tout cela qu’il ne peut l’imaginer. Sans compter sur ses parents qui l’interpellent dès que possible pour comprendre ses actions.
Mais il chasse vivement cette dernière pensée et éviter de redevenir grincheux. Les minutes s’allongent et ils arrivent peu à peu à l’endroit indiqué, se posant au plus proche pour que l’autre n’est pas tant de pas à effectuer. « Pour les livres, si on ne peut pas se recroiser avant une fois terminés, tu les laisses chez Llewelyn si vous vous rencontrez ou dans mon club de boxe, je passe là-bas obligatoirement. Bonne nuit princesse, écris-moi ta reconnaissance sur des post-it quand je récupérerai mes bouquins. ». Il en rit, laissant ainsi l’autre détaler joyeusement, attendant que les portes claquent avant de repartir.
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Emploi/études : actuellement employé au e-smart (mais jusqu'à quand)
Lieu d'habitation : à la croisée des mondes (Bukdonggu chez ses parents)
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Citation : Si y a une chance, je la prends
Si y a une leçon, je l'apprends
Si y a une leçon, je l'apprends
Aes :
⋆⁺₊⋆ nos étoiles vagabondes ⋆⁺₊⋆
quand la lune touchera la terre
quand les étoiles imploseront
quand la neige deviendra feu
quand l'eau se changera en poussière
je serais là près de toi
aujourd'hui, hier et demain encore
jusqu'à la dernière seconde
jusqu'au dernier effort
⋆⁺₊⋆ nos étoiles vagabondes ⋆⁺₊⋆
quand la lune touchera la terre
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Pseudo : Astr'lunair
Pronoms : She/elle (irl) he/il (perso)
Avatar : Han Jisung [SKZ]
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Jang Ma Eum Orenji
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Le corps se penche lentement devant le vigile, le remerciant presque de faire aussi bien son travail ou de l'avoir autorisé à suivre son employeur. Qu'importe le sens de ce geste, un au revoir significatif en somme. Ceinture bouclée, il s'enfonce confortablement dans son siège en relâchant un soupir d'aise. Les livres posés sur ses genoux, tenus par ses bras qu'il dépose dessus. la remarque de son vis-à-vis arrache une esquisse au jeune homme, il ne s'inquiète pas vraiment pour ça. Ses parents ne vont pas le gronder quand il les a prévenus et qu'ils savent qui est l'auteur de ce retard. Enfin, plutôt qui est l'hôte qui le ramène à bon port. Le bicolore va bien, en un seul morceau, malgré les divers événements de cette journée agitée.
- Ils ne diront rien, parce que c'est toi.
Assure-t-il sans perdre son sourire, un brin penaud. Un regard dehors, la seconde d'après il le porte sur l'écran de son portable. Le garçon envoie un message à sa mère, lui informant qu'il rentre sous peu et que tout va bien. La réponse le fait sourire, elle ne semble aucunement énervée par l'heure tardive ou les activités de son fils. Il a suffit qu'il précise que Ye Jun le dépose avec sa voiture pour qu'elle se montre particulièrement docile et compréhensive. Posant l'appareil sur la pile de livres, il ramène ses pupilles sur les vitres, celle à côté de lui ou celle devant.
- J'adore ça! Surtout le baby-foot, j'y jouais beaucoup au lycée avec d'autres élèves.
Petite anecdote placée là, sans pression. Un rire léger s'échappe de ses lèvres étirées, le souvenir réchauffant davantage son coeur. Ma Eum se demande, durant une fraction de seconde, comment ont été les années d'études de son aîné. Il a plutôt bien vécu les siennes, sans le désir de continuer. Aucun regret. Un jour il lui demandera, quand l'occasion se présentera. En attendant il se contente d'observer le décore qui défile sous ses yeux et lui donne la sensation de voyager. Ce n'est qu'un bout de la ville qu'il connaît déjà, cependant tout paraît différent à la nuit tombée.
Les beaux quartiers laissent place aux rues qu'il arpente régulièrement. Une enseigne familière, un arbre comme repère, ils se rapprochent à grand pas de sa maison. Avant que le véhicule ne s'arrête, le bicolore range son portable dans la poche de sa veste et cramponne ses doigts sur les livres. Le garçon hoche son visage aux paroles informatrices de son interlocuteur. Ce surnom le fait à nouveau sourire, secoué un peu la tête aussi, résigné de se faire appeler princesse.
- Je ne manquerais pas de faire des commentaires, ne t'étonne pas si ça déborde. Bonne nuit, Junnie.
Un dernier sourire reconnaissant, il ouvre la portière en tenant les livres étroitement contre lui et il sort, refermant le battant sur son passage. Un léger signe de la main, manquant de faire tomber la pile dans ses bras et il se détourne complètement de son ami pour filer vers la porte de sa résidence. Un dernier au revoir, une esquisse arrachée et il disparaît de l'autre côté de l'ouverture.